L’Etat du Sénégal, à travers ses divers démembrements, a investi beaucoup d’argent pour se doter progressivement d’infrastructures de nouvelle génération et les entretenir durablement. Tous ces efforts n’ont pas permis d’atteindre les objectifs escomptés consistant à : optimiser la mobilité des citoyens et sécuriser leurs déplacements.
D’après Ibrahima Ndongo, qui communiquait les données des accidents sur la voirie, lors de sa présentation au cours de l’atelier de formation et de sensibilisation des journalistes sur la préservation du patrimoine routier et l’occupation anarchique des emprises routières, Dakar est pleine comme un œuf.
Selon lui, «15% de la superficie de Dakar sont occupés de manière anarchique, il y a 7 millions 200 mille déplacements quotidiens, 35 h de travail par an, perdues par habitant, une recrudescence des maladies pulmonaires. Et concernant les accidents en 2022, 21 098 victimes sur la voirie publique, 519 tués».
Les conséquences sont énormes. A l’en croire, «on assiste à la mixité des accidents de la route, à l’aliénation des emprises». «Une situation, dit-il, qui crée une accidentalité routière très élevée, des congestions routières, qui ralentit la vitesse commerciale dans la capitale, avec des millions d’heures de travail perdues, entraînant aussi la ruée vers les deux-roues, des pics de pollution et une augmentation des maladies respiratoires et le stress chez la population», rapporte Le Quotidien
Ces embouteillages, fait-il savoir en outre, font perdre à la capitale, 350 milliards de francs par an. L’expert routier suggère d’y remédier le plus vite possible.
D’après Ibrahima Ndongo, qui communiquait les données des accidents sur la voirie, lors de sa présentation au cours de l’atelier de formation et de sensibilisation des journalistes sur la préservation du patrimoine routier et l’occupation anarchique des emprises routières, Dakar est pleine comme un œuf.
Selon lui, «15% de la superficie de Dakar sont occupés de manière anarchique, il y a 7 millions 200 mille déplacements quotidiens, 35 h de travail par an, perdues par habitant, une recrudescence des maladies pulmonaires. Et concernant les accidents en 2022, 21 098 victimes sur la voirie publique, 519 tués».
Les conséquences sont énormes. A l’en croire, «on assiste à la mixité des accidents de la route, à l’aliénation des emprises». «Une situation, dit-il, qui crée une accidentalité routière très élevée, des congestions routières, qui ralentit la vitesse commerciale dans la capitale, avec des millions d’heures de travail perdues, entraînant aussi la ruée vers les deux-roues, des pics de pollution et une augmentation des maladies respiratoires et le stress chez la population», rapporte Le Quotidien
Ces embouteillages, fait-il savoir en outre, font perdre à la capitale, 350 milliards de francs par an. L’expert routier suggère d’y remédier le plus vite possible.
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