L’Etat doit aux concessionnaires de nettoiement la rondelette somme de 14, 5 milliards de francs CFA. Mais il est à croire que le gouvernement peine à éponger cette dette. Dont la conséquente débouche sur une grève des concessionnaires du nettoiement. Et la situation est loin d’être résolue. Le ministre de l’économie et des finances, Mamadou Moustapha Ba a tout haut fait savoir que les finances actuelles ne permettent pas de payer cette ardoise.
« Le ministre des Finances et du Budget nous a fait savoir qu’à l’heure actuelle, l’état des finances du pays ne permet pas d’éponger la dette de 14,5 milliards, qui représentent les factures de juillet à décembre 2023 », informe Ndongo Fall, le président du collectif des concessionnaires du nettoiement.
A cet effet, une réunion tenue hier entre les deux parties n’a pas abouti à une solution. Au courant du mois de décembre, une grève de 72 heures avaient paralysé le système de ramassage des ordures. Car les concessionnaires étaient dans l’incapacité de faire face aux charges, notamment les salaires.
Dans ce cas de figure et pour désamorcer la bombe, l’Etat s’était engagé à verser en guise d’acompte la somme de 8 milliards de francs CFA représentant le paiement des charges. C’était le 19 décembre dernier. Et le collectif s’était engagé à reprendre le travail ce 20 décembre.
« Le ministre des Finances et du Budget nous a fait savoir qu’à l’heure actuelle, l’état des finances du pays ne permet pas d’éponger la dette de 14,5 milliards, qui représentent les factures de juillet à décembre 2023 », informe Ndongo Fall, le président du collectif des concessionnaires du nettoiement.
A cet effet, une réunion tenue hier entre les deux parties n’a pas abouti à une solution. Au courant du mois de décembre, une grève de 72 heures avaient paralysé le système de ramassage des ordures. Car les concessionnaires étaient dans l’incapacité de faire face aux charges, notamment les salaires.
Dans ce cas de figure et pour désamorcer la bombe, l’Etat s’était engagé à verser en guise d’acompte la somme de 8 milliards de francs CFA représentant le paiement des charges. C’était le 19 décembre dernier. Et le collectif s’était engagé à reprendre le travail ce 20 décembre.
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