Karim Wade, en octobre 2008 AFP PHOTO / GEORGES GOBET
Dans son arrêt du 22 février, la Cour de justice de la Cédéao avait en partie donné raison aux avocats de l’ancien parti au pouvoir, le Parti démocratique sénégalais. Elle avait notamment estimé que l’interdiction de sortie du territoire qui était faite aux responsables « n’avait pas de base légale » et avait épinglé le procureur spécial pour violation de la présomption d’innocence.
Dans leur nouveau recours, les avocats de Karim Wade demandent cette fois à la Cour de justice de la Cédéao de sanctionner le Sénégal en le suspendant de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest pour non respect de ses décisions. Les avocats de Karim Wade demandent 200 milliards de francs CFA (300 millions euros) de dommages et intérêts.
Les avocats de Karim Wade demandent aussi à la Cour de se prononcer sur les conditions du placement en garde à vue puis en détention préventive de leur client. Ils lui demandent d’en reconnaitre le caractère arbitraire et d’ordonner la libération du fils de l’ancien président.
Le troisième point concerne la Cour de répression de l’enrichissement illicite dont les jugements ne peuvent pas faire l’objet de recours. Les avocats de Karim Wade espèrent que dans son nouvel arrêt, la Cour de justice d’Abuja va demander au Sénégal de conformer ses lois aux conventions internationales.
Source : Rfi.fr
Dans leur nouveau recours, les avocats de Karim Wade demandent cette fois à la Cour de justice de la Cédéao de sanctionner le Sénégal en le suspendant de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest pour non respect de ses décisions. Les avocats de Karim Wade demandent 200 milliards de francs CFA (300 millions euros) de dommages et intérêts.
Les avocats de Karim Wade demandent aussi à la Cour de se prononcer sur les conditions du placement en garde à vue puis en détention préventive de leur client. Ils lui demandent d’en reconnaitre le caractère arbitraire et d’ordonner la libération du fils de l’ancien président.
Le troisième point concerne la Cour de répression de l’enrichissement illicite dont les jugements ne peuvent pas faire l’objet de recours. Les avocats de Karim Wade espèrent que dans son nouvel arrêt, la Cour de justice d’Abuja va demander au Sénégal de conformer ses lois aux conventions internationales.
Source : Rfi.fr
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