Après six semaines de débats, la cour a rendu son verdict ce soir et confirmé la peine de 25 ans prononcée en première instance pour Pascal Simbikangwa, ex-officier de la garde présidentielle âgé de 56 ans, qui a été reconnu coupable de génocide et complicité de crimes contre l'humanité, pour des faits qui se sont déroulés il y a 22 ans.
« Nous sommes entièrement satisfaits avec la décision du jury de la Cour d’assises de Bobigny qui a confirmé la peine de vingt-cinq ans de prison, c’était le maximum qu’il pouvait obtenir, réagit Alain Gauthier, le président du Collectif des parties civiles pour Rwanda. Ça confirme un petit peu, ça nous encourage dans le combat que nous menons.
C’est la première condamnation définitive. Vous savez qu’il y a quand même eu le 6 juillet deux condamnations à la réclusion criminelle à perpétuité contre messieurs Ngenzi et Barahira. Ils ont fait appel.
Il y a d’autres combats à mener, nous attendons pour le début de l’année certainement l’annonce de clôture d’instruction de la part des juges d’instruction du pool. Il y a des dossiers qui sont certainement prêts à être aussi traités en cour d’assises.
Nous nous sommes engagés au sein du Collectif des parties civiles pour le Rwanda dans ce combat. Je crois que ça va durer encore de longues années ».
Le collectif traque depuis des années des responsables présumés du génocide rwandais qui ont trouvé refuge en Europe était sur place, sa réaction sur le vif.
« Nous sommes entièrement satisfaits avec la décision du jury de la Cour d’assises de Bobigny qui a confirmé la peine de vingt-cinq ans de prison, c’était le maximum qu’il pouvait obtenir, réagit Alain Gauthier, le président du Collectif des parties civiles pour Rwanda. Ça confirme un petit peu, ça nous encourage dans le combat que nous menons.
C’est la première condamnation définitive. Vous savez qu’il y a quand même eu le 6 juillet deux condamnations à la réclusion criminelle à perpétuité contre messieurs Ngenzi et Barahira. Ils ont fait appel.
Il y a d’autres combats à mener, nous attendons pour le début de l’année certainement l’annonce de clôture d’instruction de la part des juges d’instruction du pool. Il y a des dossiers qui sont certainement prêts à être aussi traités en cour d’assises.
Nous nous sommes engagés au sein du Collectif des parties civiles pour le Rwanda dans ce combat. Je crois que ça va durer encore de longues années ».
Le collectif traque depuis des années des responsables présumés du génocide rwandais qui ont trouvé refuge en Europe était sur place, sa réaction sur le vif.
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