Unai Emery a confiance. Il l’a dit et redit mardi en conférence de presse, livrant un discours particulièrement positif alors que son équipe vient d’enchaîner les mauvais résultats en Ligue 1 (deux défaites et un nul). Mais est-ce que le son de cloche est le même du côté de la direction parisienne, celle qui se trouve à Doha ? Pas vraiment, annonce ce matin L’Équipe.
En effet, échaudés par le retard pris en L1 et le peu d’amélioration dans le jeu, les Qataris seraient prêts à virer l’entraîneur espagnol en cas de défaite face à Lorient au Parc des Princes ce mercredi soir. Le scénario apparaît improbable puisque le PSG n’a pas perdu à domicile cette saison (6 victoires, 3 nuls) et puisque les Merlus débarquent dans la peau de la lanterne rouge. Toutefois, même si le PSG l’emporte, tout ne sera pas réglé pour Emery.
Six semaines pour convaincre
Le quotidien sportif explique ainsi qu’un ultimatum a été lancé. Il aura 6 semaines pour convaincre à partir de la reprise en janvier, avec en ligne de mire plusieurs matches décisifs : face à Monaco le 28 janvier pour ne pas hypothéquer la course au titre, face au Barça le 14 février pour garder un espoir de qualification en Ligue des Champions, mais aussi face à trois « petits » de L1, Metz, Bastia et Dijon.
Concrètement, Emery n’aura plus le droit à l’erreur durant cette période et le moindre accroc pourra alors lui coûter son poste. L’entraîneur basque a refusé de s’alarmer hier mais il ne pourra pas nier l’évidence si les résultats ne le suivent pas. Handicapé par l’absence de nombreux joueurs offensifs ce mercredi soir contre Lorient, le PSG va donner un premier élément de réponse sur l’attachement des joueurs à leur coach...
En effet, échaudés par le retard pris en L1 et le peu d’amélioration dans le jeu, les Qataris seraient prêts à virer l’entraîneur espagnol en cas de défaite face à Lorient au Parc des Princes ce mercredi soir. Le scénario apparaît improbable puisque le PSG n’a pas perdu à domicile cette saison (6 victoires, 3 nuls) et puisque les Merlus débarquent dans la peau de la lanterne rouge. Toutefois, même si le PSG l’emporte, tout ne sera pas réglé pour Emery.
Six semaines pour convaincre
Le quotidien sportif explique ainsi qu’un ultimatum a été lancé. Il aura 6 semaines pour convaincre à partir de la reprise en janvier, avec en ligne de mire plusieurs matches décisifs : face à Monaco le 28 janvier pour ne pas hypothéquer la course au titre, face au Barça le 14 février pour garder un espoir de qualification en Ligue des Champions, mais aussi face à trois « petits » de L1, Metz, Bastia et Dijon.
Concrètement, Emery n’aura plus le droit à l’erreur durant cette période et le moindre accroc pourra alors lui coûter son poste. L’entraîneur basque a refusé de s’alarmer hier mais il ne pourra pas nier l’évidence si les résultats ne le suivent pas. Handicapé par l’absence de nombreux joueurs offensifs ce mercredi soir contre Lorient, le PSG va donner un premier élément de réponse sur l’attachement des joueurs à leur coach...
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