La levée de l'immunité parlementaire de Khalifa Sall sera examinée ce samedi à 18 heures à l'Assemblée nationale par les élus du peuple. Le président du parti Rewmi qui a réagi dans l'édition d'informations de 12 heures sur la Rfm trouve la procédure comique et illogique. "La question que tout le monde se pose, c'est comment peut-on lever une immunité qu'on n'a pas établi au préalable. C'est comme si vous voulez déshabiller quelqu'un sans l'avoir habillé au préalable", a-t-il déclaré à nos confrères.
Idrissa Seck d'expliquer ensuite : "Si aujourd'hui Khalifa Sall était libre, si les poursuites étaient suspendues et la détention arrêtée, il aurait pu comparaître en homme livre devant la commission (ad hoc). Et une fois son immunité levée, là les poursuites peuvent reprendre et la détention, si elle est nécessaire, établie"
Idrissa Seck d'expliquer ensuite : "Si aujourd'hui Khalifa Sall était libre, si les poursuites étaient suspendues et la détention arrêtée, il aurait pu comparaître en homme livre devant la commission (ad hoc). Et une fois son immunité levée, là les poursuites peuvent reprendre et la détention, si elle est nécessaire, établie"
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