L’Afrique doit désormais cesser d’être simple spectatrice des mutations médiatiques mondiales. Tel est le message porté par le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall, à l’ouverture, lundi à Dakar, de la première édition du Salon international des médias d’Afrique (SIMA). Le ministre a plaidé pour la construction d’un écosystème médiatique africain “dynamique, innovant, éthique et souverain”.
Selon lui, “le SIMA, plus qu’un événement, est une ambition partagée, celle de construire ensemble un écosystème médiatique africain dynamique, innovant, éthique et souverain”. Alioune Sall a relevé que le paysage médiatique mondial connaît “une transformation profonde”, marquée par la disparition des frontières entre médias traditionnels et numériques, et l’émergence de technologies comme l’intelligence artificielle.
“L’Afrique, longtemps spectatrice de ces mutations, est aujourd’hui pleinement actrice”, a-t-il affirmé, citant l’intégration de l’intelligence artificielle dans certaines rédactions, l’essor du journalisme de données et la créativité de jeunes influenceurs qui touchent des millions de citoyens.
Mais cette évolution, a-t-il averti, exige “une réflexion éthique et une gouvernance responsable”. Le ministre a dénoncé la prolifération de la désinformation et des discours de haine sur les réseaux sociaux, estimant que “la presse doit être le rempart moral et professionnel contre la déformation du réel. Elle doit rester la boussole de vérité dans un océan d’informations contradictoires”.
Alioune Sall a insisté sur la nécessité d’une “responsabilité partagée” entre les médias, les pouvoirs publics et les plateformes numériques, pour garantir un environnement médiatique “sain”, conciliant liberté d’expression et lutte contre les dérives. Il a réaffirmé la volonté du Sénégal, “fidèle à sa tradition démocratique”, de jouer “un rôle moteur dans la bataille mondiale pour la vérité”, notamment à travers les institutions de régulation et les programmes de formation destinés à renforcer la professionnalisation du secteur.
Présenté comme “une plateforme de réflexion, de partage et d’action”, le SIMA ambitionne de déboucher sur une “Déclaration de Dakar” pour une information “sûre et fiable sur le continent”. Le ministre a souligné que les priorités doivent porter sur la formation, la coopération Sud-Sud, la production de contenus africains et la restauration de la confiance entre la presse et les citoyens.
Alioune Sall a enfin salué le Marché international de contenus du SIMA, “une initiative majeure” visant à valoriser la créativité africaine et à stimuler les échanges professionnels. “L’avenir du journalisme africain se joue dans la créativité, la solidarité et la responsabilité”, a-t-il conclu.
Selon lui, “le SIMA, plus qu’un événement, est une ambition partagée, celle de construire ensemble un écosystème médiatique africain dynamique, innovant, éthique et souverain”. Alioune Sall a relevé que le paysage médiatique mondial connaît “une transformation profonde”, marquée par la disparition des frontières entre médias traditionnels et numériques, et l’émergence de technologies comme l’intelligence artificielle.
“L’Afrique, longtemps spectatrice de ces mutations, est aujourd’hui pleinement actrice”, a-t-il affirmé, citant l’intégration de l’intelligence artificielle dans certaines rédactions, l’essor du journalisme de données et la créativité de jeunes influenceurs qui touchent des millions de citoyens.
Mais cette évolution, a-t-il averti, exige “une réflexion éthique et une gouvernance responsable”. Le ministre a dénoncé la prolifération de la désinformation et des discours de haine sur les réseaux sociaux, estimant que “la presse doit être le rempart moral et professionnel contre la déformation du réel. Elle doit rester la boussole de vérité dans un océan d’informations contradictoires”.
Alioune Sall a insisté sur la nécessité d’une “responsabilité partagée” entre les médias, les pouvoirs publics et les plateformes numériques, pour garantir un environnement médiatique “sain”, conciliant liberté d’expression et lutte contre les dérives. Il a réaffirmé la volonté du Sénégal, “fidèle à sa tradition démocratique”, de jouer “un rôle moteur dans la bataille mondiale pour la vérité”, notamment à travers les institutions de régulation et les programmes de formation destinés à renforcer la professionnalisation du secteur.
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