Les retraités de la défunte société Entreprise Générale du Cap-Vert (EGCAP) ont décidé d’exprimer leur colère par un sit-in prévu ce matin à 11 heures à la place de l’Obélisque. Ils courent toujours derrière leur allocation de retraite estimée à 2,7 milliards de F CFA. Par cette action, les ex-travailleurs espèrent se faire entendre.
Après la fermeture de l’entreprise en 2000, 520 employés n’ont pas pu entrer en possession de leur fonds. « L’Institut de Prévoyance Retraite (IPRES), nous avait fait croire que notre directeur n’avait pas versé les cotisations. Or, en 1998, il avait remis deux titres fonciers et un immeuble comme action en paiement », s’est désolé le vieux retraité Maguette Diop qui fait la genèse de leur différend avec l’IPRES. D’après ses explications, à cause des engagements non respectés de l’IPRES, l’affaire a atterri devant le tribunal.
Comme en première instance, l’IPRES a été condamnée par la Cour d’appel de Dakar à payer 2,7 milliards aux 520 plaignants de l’Entreprise Générale du Cap-Vert. Les ex-travailleurs ont trouvé le sourire avec le versement d’un acompte d’un montant de 229 millions de F CFA en octobre 2012. Pour reliquat de 2,5 milliards, l’IPRES a demandé un moratoire et un paiement en 12 mensualités.
Mais depuis lors, les requérants n’ont perçu aucun centime, informent nos confrères du journal « Enquête ». Dans son arrêt, la Cour suprême a cassé la décision et envoyé les parties devant la Cour d’appel de Kaolack.
Après la fermeture de l’entreprise en 2000, 520 employés n’ont pas pu entrer en possession de leur fonds. « L’Institut de Prévoyance Retraite (IPRES), nous avait fait croire que notre directeur n’avait pas versé les cotisations. Or, en 1998, il avait remis deux titres fonciers et un immeuble comme action en paiement », s’est désolé le vieux retraité Maguette Diop qui fait la genèse de leur différend avec l’IPRES. D’après ses explications, à cause des engagements non respectés de l’IPRES, l’affaire a atterri devant le tribunal.
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