Réunie dans le Rassemblement des forces acquises au changement, l'opposition radicale [la frange de l’opposition qui ne participe pas au dialogue avec le pouvoir, NDLR] parle de l'aboutissement d'un plan savamment monté par la majorité pour éterniser Joseph Kabila au pouvoir.
Jean-Marc Kabund, secrétaire général de l'UDPS, estime que le peuple congolais ne se retrouve pas dans l'accord auquel sont parvenus la majorité et l'opposition participant au dialogue. « Le peuple congolais s’est prononcé les 19 et 20 septembre 2016 et je demande au peuple congolais de rejeter en bloc cet accord et de continuer à exiger un véritable dialogue qui va respecter notre constitution, qui va respecter la volonté du peuple congolais qui veut voir l’alternance dans ce pays », explique-t-il à RFI.
Pour la frange de la société civile qui ne participe pas au dialogue, cet accord est tout simplement une violation de la constitution. « Comment peut-on penser mettre la date de l’élection du président de la République qui doit remplacer le sortant en avril 2018 ? C’est inacceptable », s’interroge Georges Kapiamba de l'ACAJ, Association congolaise pour l'accès à la justice.
A la Cenco, on attend certainement l'adoption en plénière et la signature dudit accord avant de s'exprimer. A la recherche d'un dialogue inclusif, les évêques s'étaient retirés des travaux des travaux de la cité de l'Union africaine en promettant de faire la synthèse des conclusions du dialogue et celles du conclave du rassemblement.
Jean-Marc Kabund, secrétaire général de l'UDPS, estime que le peuple congolais ne se retrouve pas dans l'accord auquel sont parvenus la majorité et l'opposition participant au dialogue. « Le peuple congolais s’est prononcé les 19 et 20 septembre 2016 et je demande au peuple congolais de rejeter en bloc cet accord et de continuer à exiger un véritable dialogue qui va respecter notre constitution, qui va respecter la volonté du peuple congolais qui veut voir l’alternance dans ce pays », explique-t-il à RFI.
Pour la frange de la société civile qui ne participe pas au dialogue, cet accord est tout simplement une violation de la constitution. « Comment peut-on penser mettre la date de l’élection du président de la République qui doit remplacer le sortant en avril 2018 ? C’est inacceptable », s’interroge Georges Kapiamba de l'ACAJ, Association congolaise pour l'accès à la justice.
A la Cenco, on attend certainement l'adoption en plénière et la signature dudit accord avant de s'exprimer. A la recherche d'un dialogue inclusif, les évêques s'étaient retirés des travaux des travaux de la cité de l'Union africaine en promettant de faire la synthèse des conclusions du dialogue et celles du conclave du rassemblement.
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