«L’émergence de la citoyenneté au Sénégal ou encore la création de plus en plus de mouvements patriotiques, font que les gens veulent savoir comment sont gérées les finances publiques et donc qui posent des questions, cherchent des réponses», explique Mamadou Lamine Diallo présent à l'atelier organisé par Article 19 et Hivos SUR la transparence dans l'attribution des marchés publics.
Le parlementaire de poursuivre: «La persistance de la corruption, malgré les dispositifs institutionnels qui sont mis en place notamment l’Ofnac et autres, fait que nous nous intéressons aux contrats publics. Et, souvent la presse en fait ses choux gras en mettant en évidence un certain nombre de contrats ou de dysfonctionnements. Et c’est la raison pour laquelle tout le monde s’y intéresse», précise-t-il .
«En tant que député, avance-t-il: "on se bat toujours pour l’accès à l’information, et c’était le cas de notre bataille sur l’accès à l’information dans le domaine portuaire de NECOTRANS, de Bictogo, etc…, malgré les moyens limités que nous disposons».
En guise de conclusion, il déclare que «lorsque le président de la République signe un décret pour attribuer une exploitation minière à une société ou une multinationale, il doit réfléchir par deux fois», Avant d’ajouter que : « c’est pourquoi d’ailleurs, (il) soutient que le présidentialisme absolu n’est pas bon pour nous. Laisser au président seul le choix de cette décision, paraît extrêmement lourd».
Le parlementaire de poursuivre: «La persistance de la corruption, malgré les dispositifs institutionnels qui sont mis en place notamment l’Ofnac et autres, fait que nous nous intéressons aux contrats publics. Et, souvent la presse en fait ses choux gras en mettant en évidence un certain nombre de contrats ou de dysfonctionnements. Et c’est la raison pour laquelle tout le monde s’y intéresse», précise-t-il .
«En tant que député, avance-t-il: "on se bat toujours pour l’accès à l’information, et c’était le cas de notre bataille sur l’accès à l’information dans le domaine portuaire de NECOTRANS, de Bictogo, etc…, malgré les moyens limités que nous disposons».
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