Une affaire de ‘’coups et blessures volontaires’’ a été jugée au tribunal d'instance de Dakar. L'étudiant Adolphe Thierno Ciss, 24 ans, a comparé pour avoir violemment agressé son cousin Charlemagne Boubacar Diagne. Le drame s'est déroulé à la suite d'une dispute pour une somme de 2 000 F CFA.
Selon le procès, le jeune homme, ayant refusé de prêter de l'argent à son cousin, a été la cible d'une violente agression. Adolphe Thierno Ciss s'est emparé d'un tesson de bouteille pour poignarder son cousin au bras avant de lui « fracasser la tête avec une pierre ».
La victime s'est retrouvée avec une nuque fendue, nécessitant 24 points de suture et lui valant une incapacité de travail temporaire de 18 jours.
Devant le tribunal, le prévenu n'a montré aucun remords. Il a affirmé qu'il a agi ainsi parce que son cousin l'avait « menacé puis frappé ». De son côté, Charlemagne Boubacar Diagne a déploré le comportement de son cadet, le décrivant comme irrespectueux envers ses aînés et ses parents. Malgré tout, la victime ne réclamait rien, espérant juste que son cousin « revienne sur le droit chemin ».
La représentante du procureur a souligné la gravité des faits, rappelant que le prévenu aurait pu tuer son cousin. Elle a requis une peine de 3 mois de prison ferme, justifiant sa décision par le "cynisme et la désinvolture" d'Adolphe Thierno Ciss. « Seule une peine ferme peut l'amener à comprendre le degré de gravité de ces faits », a-t-elle expliqué dans les colonnes du journal « Les Echos ».
Le verdict, est attendu pour ce 14 août 2025.
Selon le procès, le jeune homme, ayant refusé de prêter de l'argent à son cousin, a été la cible d'une violente agression. Adolphe Thierno Ciss s'est emparé d'un tesson de bouteille pour poignarder son cousin au bras avant de lui « fracasser la tête avec une pierre ».
La victime s'est retrouvée avec une nuque fendue, nécessitant 24 points de suture et lui valant une incapacité de travail temporaire de 18 jours.
Devant le tribunal, le prévenu n'a montré aucun remords. Il a affirmé qu'il a agi ainsi parce que son cousin l'avait « menacé puis frappé ». De son côté, Charlemagne Boubacar Diagne a déploré le comportement de son cadet, le décrivant comme irrespectueux envers ses aînés et ses parents. Malgré tout, la victime ne réclamait rien, espérant juste que son cousin « revienne sur le droit chemin ».
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