L’heure était aux comptes et aux révélations, les co-organisateurs de Bercy de Wally Seck ont apporté leur part de vérité sur ce mythe de Bercy . Ils n’ont pas mis de gants pour démonter le «faramarène » pièce par pièce, et se laver les mains des propos mensongères de Wally Seck, d’après eux.
Pourquoi Paris Bercy ?
«Nous sommes des jeunes entrepreneurs, porteurs de projet, et nous nous sommes fixés comme objectifs d’exporter les différents facettes de la musique sénégalaise à travers le monde par le biais de notre label « Sen art vision » et «vouzenou », qui font parallèlement de la production et du management. Nous avons donc fait appel à « Yuma productions » qui est un label français. N’importe qui ne peut pas se lever un bon jour et organiser Bercy. Et, nous savions qu’au départ que ce ne serait pas facile et que nous aurons du pain sur la planche. Toutefois nous avons tenté le tout pour le tout».
Quels ont été les enjeux de Bercy ?
«Il est important de situer les responsabilités, déterminer qui et qui, qui a fait quoi, et le rôle de chacun dans cette affaire. Nous sommes les organisateurs de Paris Bercy et Wally Seck était seulement le prestataire. Il était seulement le chanteur. Nous l’avions engagé afin qu’il puisse faire un spectacle. Contrairement à tout ce que Wally seck a dit dans une émission, c’est nous qui avons payé à Wally Seck 78,6 millions de F Cfa, pour les frais de location de la salle».
Echec ou réussite de Bercy ?
«Nous n’avions pas honte de le dire, le Bercy a été un grand échec pour nous. Deux (2) jours avant la soirée, nous savions qu’on n’allait pas réussir car au départ nous étions parti sur 18. 000 places, après on est descendu sur 10.000 et une semaine avant l’événement, nous arrivions pas à remplir ces 10.000 places et finalement on est redescendu jusqu’à 9.000 places. Donc il y avait des pénalités (12 millions de F CFA). De pire, quand on a fait le spectacle, nous n’avions pas rempli ces 9.000 places. Alors nous n’avions pas honte de dire qu’on a vendu que 6. 351 entrées et 879 invitations».
Quand on est revenu au Sénégal, nous avons jugé nécessaire de faire un point de presse pour édifier les sénégalais sur ce qui s’est réellement passé, car c’est normal qu’après avoir fait un événement pareil, dans une salle aussi grande que bercy, d’avoir un gap financier. Mais notre retour à coïncider avec le mois de ramadan, et en tant que musulman, ce n’était pas un moment pour faire des polémiques. Mais notre employé (Wally Seck) a n’en profité pour faire une sortie dans une télé de la place pour dire des mensonges sur nous ».
Bercy sans sponsor
«Nous avons eu un problème de sponsoring et il fallait trouver une société qui allait se charger les démarches. Et sans arrière-pensée, nous avons choisi « Dak'Cor» qui appartient au patron de la télé où Wally a fait sa sortie, vu les relations que ce dernier a avec lui. Ils ont fait un dossier et, une semaine après nous avons constaté que le même dossier a été pour l’anniversaire de Wally. Les problèmes ont commencé à ce niveau. Le pire, c’est qu’il réclamait 40% des frais d’agence. Du jamais vu et, à part quelques-unes qui étaient plus sur des aspects de dons, ils ne sont même pas parvenus nous en trouver».
Le concept «Ndéyou » (marraine) et «bayou» (parrain) Bercy
«Nous avons convenu avec le chanteur de faire des mécènes, d’aller voir des sénégalais qui ont les moyens pour trouver de l’aide. Et c’était en commun accord avec Wally, d’aller vers ces gens et leurs présenter ce concept «Ndéyou » Bercy et «bayou» Bercy. Si on part chez son ami et qu’il nous donne 10. 000 F CFA, les 6.000 seront à lui et les 4.000 F CFA à nous. Mais si par contre, ce donneur est notre ami, nous prenons les 6. 000 et les 4. 000 lui reviendraient de droit. Mais à notre grande surprise, Wally nous a devancés sur ce plan là».
Ensuite, nous avons tout fait pour avoir une audience avec le président Macky Sall. Quand cela a été fait, il nous encore devancés au palais et a demandé aux gendarmes de na pas nous laisser entrer.
Est-ce-que vous avez honoré tous vos engagements à l’encontre du chanteur ?
«Nous lui avons remis 15 millions avant d’aller à Bercy, et une fois sur les lieux de Bercy, on lui a donné 15.000 euros. Le tout s’élève à 25 millions de F CFA sur un reliquat de 68. 600 euros. Le reste devait lui être remis trois (3) jours après la soirée si tout se passe bien. Mais, il n’a pas respecté ses engagements parce qu’il a joué un concert le lendemain de la soirée de Bercy. Chose qu’il ne devait pas faire car ce n’était pas inclus dans le contrat».Et, «comme il n’a pas respecté ses engagements, nous aussi, nous n’avons pas d’engagements à respecter à son égard. alors, nous lui devons rien du tout».
Pourquoi Paris Bercy ?
«Nous sommes des jeunes entrepreneurs, porteurs de projet, et nous nous sommes fixés comme objectifs d’exporter les différents facettes de la musique sénégalaise à travers le monde par le biais de notre label « Sen art vision » et «vouzenou », qui font parallèlement de la production et du management. Nous avons donc fait appel à « Yuma productions » qui est un label français. N’importe qui ne peut pas se lever un bon jour et organiser Bercy. Et, nous savions qu’au départ que ce ne serait pas facile et que nous aurons du pain sur la planche. Toutefois nous avons tenté le tout pour le tout».
Quels ont été les enjeux de Bercy ?
«Il est important de situer les responsabilités, déterminer qui et qui, qui a fait quoi, et le rôle de chacun dans cette affaire. Nous sommes les organisateurs de Paris Bercy et Wally Seck était seulement le prestataire. Il était seulement le chanteur. Nous l’avions engagé afin qu’il puisse faire un spectacle. Contrairement à tout ce que Wally seck a dit dans une émission, c’est nous qui avons payé à Wally Seck 78,6 millions de F Cfa, pour les frais de location de la salle».
Echec ou réussite de Bercy ?
«Nous n’avions pas honte de le dire, le Bercy a été un grand échec pour nous. Deux (2) jours avant la soirée, nous savions qu’on n’allait pas réussir car au départ nous étions parti sur 18. 000 places, après on est descendu sur 10.000 et une semaine avant l’événement, nous arrivions pas à remplir ces 10.000 places et finalement on est redescendu jusqu’à 9.000 places. Donc il y avait des pénalités (12 millions de F CFA). De pire, quand on a fait le spectacle, nous n’avions pas rempli ces 9.000 places. Alors nous n’avions pas honte de dire qu’on a vendu que 6. 351 entrées et 879 invitations».
Quand on est revenu au Sénégal, nous avons jugé nécessaire de faire un point de presse pour édifier les sénégalais sur ce qui s’est réellement passé, car c’est normal qu’après avoir fait un événement pareil, dans une salle aussi grande que bercy, d’avoir un gap financier. Mais notre retour à coïncider avec le mois de ramadan, et en tant que musulman, ce n’était pas un moment pour faire des polémiques. Mais notre employé (Wally Seck) a n’en profité pour faire une sortie dans une télé de la place pour dire des mensonges sur nous ».
Bercy sans sponsor
«Nous avons eu un problème de sponsoring et il fallait trouver une société qui allait se charger les démarches. Et sans arrière-pensée, nous avons choisi « Dak'Cor» qui appartient au patron de la télé où Wally a fait sa sortie, vu les relations que ce dernier a avec lui. Ils ont fait un dossier et, une semaine après nous avons constaté que le même dossier a été pour l’anniversaire de Wally. Les problèmes ont commencé à ce niveau. Le pire, c’est qu’il réclamait 40% des frais d’agence. Du jamais vu et, à part quelques-unes qui étaient plus sur des aspects de dons, ils ne sont même pas parvenus nous en trouver».
Le concept «Ndéyou » (marraine) et «bayou» (parrain) Bercy
«Nous avons convenu avec le chanteur de faire des mécènes, d’aller voir des sénégalais qui ont les moyens pour trouver de l’aide. Et c’était en commun accord avec Wally, d’aller vers ces gens et leurs présenter ce concept «Ndéyou » Bercy et «bayou» Bercy. Si on part chez son ami et qu’il nous donne 10. 000 F CFA, les 6.000 seront à lui et les 4.000 F CFA à nous. Mais si par contre, ce donneur est notre ami, nous prenons les 6. 000 et les 4. 000 lui reviendraient de droit. Mais à notre grande surprise, Wally nous a devancés sur ce plan là».
Ensuite, nous avons tout fait pour avoir une audience avec le président Macky Sall. Quand cela a été fait, il nous encore devancés au palais et a demandé aux gendarmes de na pas nous laisser entrer.
Est-ce-que vous avez honoré tous vos engagements à l’encontre du chanteur ?
«Nous lui avons remis 15 millions avant d’aller à Bercy, et une fois sur les lieux de Bercy, on lui a donné 15.000 euros. Le tout s’élève à 25 millions de F CFA sur un reliquat de 68. 600 euros. Le reste devait lui être remis trois (3) jours après la soirée si tout se passe bien. Mais, il n’a pas respecté ses engagements parce qu’il a joué un concert le lendemain de la soirée de Bercy. Chose qu’il ne devait pas faire car ce n’était pas inclus dans le contrat».Et, «comme il n’a pas respecté ses engagements, nous aussi, nous n’avons pas d’engagements à respecter à son égard. alors, nous lui devons rien du tout».
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