
Abdou Mbow, porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (Apr) n’a pas mis du temps pour répondre au Premier ministre Ousmane Sonko qui, lors d’un point de presse le 26 septembre, s’est attaqué à l’ancien Président Macky Sall et à son régime qu’il accuse d’avoir mis à terre ‘’l’économie et menti’’ sur les chiffres des finances publiques. L’invité du Jury du dimanche sur I-radio, ce 29 septembre 2024, estime que « Sonko fait de la manipulation»,.
« Pour la dette, ils ont parlé du déficit qui est aujourd’hui de 10% au lieu de 5,5% comme annoncé. En ce qui concerne la dette au Sénégal, elle a deux composantes : la dette intérieure et la dette extérieure. Ensuite, quand on parle de dette extérieure, il y a une certaine pratique qu’il faut prendre en compte, c’est-à-dire des facilités du FMI afin de lever des fonds sur le marché national avec des banques nationales. Les deux constituent la dette de l’Etat du Sénégal qui est différente de la dette contingente. Maintenant, Ousmane Sonko est venu prendre la dette intérieure, plus la dette extérieure et les facilités que l’on a faites au gouvernement sénégalais. C’est ainsi qu’il a annoncé les chiffres de 15 mille milliards de dettes. Il en déduit que l’Etat n’a pas dit la vérité. Et cela, je vous le dis, ce n’est pas nouveau », a déploré Abdou Bow.
Mieux, a soutenu le député de 14e législature : « On a dit que la dette de l’Etat central est totalement différente de ce que j’ai expliqué tout à l’heure. S’il agrège les deux, cela va inévitablement amener un déficit de 10% au lieu de 5% annoncé par l’Etat. Sonko est tout le temps dans la manipulation et dans la politique politicienne. Les 1 800 milliards dont il parle, c’est de l’argent qu’on lève ici avec les banques nationales ».
Poursuivant ses propos, M. Mbow a ajouté : « Ils ont été élus à cause de la manipulation, à cause des insanités, à cause des contre-vérités qu’ils ont toujours racontées aux Sénégalais. Tout ça les rattrape. Parce qu’ils avaient dit qu’ils allaient présenter le projet, je n’ai pas vu de projet moi, aucun Sénégalais ne la vu…. Ces gens ne savent pas gérer un pays, ils sont dans la menace, ils sont dans la calomnie et depuis qu’ils sont à la tête de ce pays, ils passent leur temps à violer les lois de la République. La dernière en date, c’est les élections législatives anticipées du 17 novembre 2024».
« Pour la dette, ils ont parlé du déficit qui est aujourd’hui de 10% au lieu de 5,5% comme annoncé. En ce qui concerne la dette au Sénégal, elle a deux composantes : la dette intérieure et la dette extérieure. Ensuite, quand on parle de dette extérieure, il y a une certaine pratique qu’il faut prendre en compte, c’est-à-dire des facilités du FMI afin de lever des fonds sur le marché national avec des banques nationales. Les deux constituent la dette de l’Etat du Sénégal qui est différente de la dette contingente. Maintenant, Ousmane Sonko est venu prendre la dette intérieure, plus la dette extérieure et les facilités que l’on a faites au gouvernement sénégalais. C’est ainsi qu’il a annoncé les chiffres de 15 mille milliards de dettes. Il en déduit que l’Etat n’a pas dit la vérité. Et cela, je vous le dis, ce n’est pas nouveau », a déploré Abdou Bow.
Mieux, a soutenu le député de 14e législature : « On a dit que la dette de l’Etat central est totalement différente de ce que j’ai expliqué tout à l’heure. S’il agrège les deux, cela va inévitablement amener un déficit de 10% au lieu de 5% annoncé par l’Etat. Sonko est tout le temps dans la manipulation et dans la politique politicienne. Les 1 800 milliards dont il parle, c’est de l’argent qu’on lève ici avec les banques nationales ».
Poursuivant ses propos, M. Mbow a ajouté : « Ils ont été élus à cause de la manipulation, à cause des insanités, à cause des contre-vérités qu’ils ont toujours racontées aux Sénégalais. Tout ça les rattrape. Parce qu’ils avaient dit qu’ils allaient présenter le projet, je n’ai pas vu de projet moi, aucun Sénégalais ne la vu…. Ces gens ne savent pas gérer un pays, ils sont dans la menace, ils sont dans la calomnie et depuis qu’ils sont à la tête de ce pays, ils passent leur temps à violer les lois de la République. La dernière en date, c’est les élections législatives anticipées du 17 novembre 2024».
Autres articles
-
Affaire Boffa Bayotte : la Cour de cassation confirme la perpétuité pour le journaliste René Capain Bassène
-
Classement mondial de RSF 2025 : la précarité économique, nouvelle menace majeure de la liberté de la presse
-
Transactions suspectes de plus de 47 milliards Fcfa : la société Okapi Sénégal Suarl épinglée par la CENTIF
-
Audit des finances 2019–2024 : la Cour des comptes saisit la Justice, huit dossiers explosifs en ligne de mire
-
Liberté de la presse : le Sénégal progresse de 20 places dans le classement mondial de RSF