
L'accident s'est produit à 16H10 au passage à niveau No25 sur l'axe Perpignan-Villefranche de Conflent, situé à Millas. Le car scolaire a été coupé en deux dans le choc extrêmement violent. « Le processus d'identification a commencé et il est extrêmement difficile », a déclaré jeudi soir le Premier ministre Edouard Philippe peu après son arrivée à Millas, une petite commune rurale de 4.000 habitants.
Vingt-quatre personnes ont été impliquées dans cet accident, dont une vingtaine d'enfants âgés de 13 à 17 ans : « quatre décès ont été constatés, onze personnes sont en situation d'urgence absolue et 9 en urgence relative », a ajouté le chef du gouvernement.
« Le car a vraiment été coupé en deux par le train qui passait », a déclaré le maire de la commune voisine Saint-Féliu-d'Amont, Robert Olive. Il a parlé d'une « vision d'horreur » en évoquant, sur France Bleu Roussillon, la carcasse du car blanc coupé en deux « au croisement de la voie ferrée, à un passage à niveau très dégagé ».
«Le choc a été violent»
De source proche de l'enquête, on indique que des témoins ont déjà été entendus et d'autres le seront. Des prélèvements seront effectués pour vérifier l'alcoolémie et la toxicologie de la conductrice du car de ramassage scolaire ainsi que du chauffeur du TER.
« Le choc a été violent », a déclaré le préfet des Pyrénées-Orientales Philippe Vignes, précisant que les enfants étaient scolarisés au collège Christian-Bourquin à Millas.
La SNCF a indiqué que « selon des témoins, le passage à niveau a fonctionné normalement, mais il faut évidemment que cela soit confirmé par l'enquête ».
Cette collision entre un train et un bus scolaire à Millas est l'un des accidents les plus graves de véhicules transportant des enfants depuis le drame de Beaune en 1982.
Vingt-quatre personnes ont été impliquées dans cet accident, dont une vingtaine d'enfants âgés de 13 à 17 ans : « quatre décès ont été constatés, onze personnes sont en situation d'urgence absolue et 9 en urgence relative », a ajouté le chef du gouvernement.
« Le car a vraiment été coupé en deux par le train qui passait », a déclaré le maire de la commune voisine Saint-Féliu-d'Amont, Robert Olive. Il a parlé d'une « vision d'horreur » en évoquant, sur France Bleu Roussillon, la carcasse du car blanc coupé en deux « au croisement de la voie ferrée, à un passage à niveau très dégagé ».
«Le choc a été violent»
De source proche de l'enquête, on indique que des témoins ont déjà été entendus et d'autres le seront. Des prélèvements seront effectués pour vérifier l'alcoolémie et la toxicologie de la conductrice du car de ramassage scolaire ainsi que du chauffeur du TER.
« Le choc a été violent », a déclaré le préfet des Pyrénées-Orientales Philippe Vignes, précisant que les enfants étaient scolarisés au collège Christian-Bourquin à Millas.
La SNCF a indiqué que « selon des témoins, le passage à niveau a fonctionné normalement, mais il faut évidemment que cela soit confirmé par l'enquête ».
Cette collision entre un train et un bus scolaire à Millas est l'un des accidents les plus graves de véhicules transportant des enfants depuis le drame de Beaune en 1982.
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