L’Assemblée nationale a annoncé la semaine passée dans un communiqué la fin des travaux de rénovation de l’hémicycle, un projet de modernisation et de digitalisation financé par l’Agence coréenne de coopération internationale (Koica).
Si cette rénovation fait le bonheur de certains, d'autres députés la dénoncent. C’est le cas du député Guy Marius Sagna. Selon le journal Bès-bi, qui rapporte l’information dans sa parution du jour, mardi, Guy a critiqué cette initiative. « Je dénonce l’inscription 'Republic of Korea. Koica' sur les micros qui a été imposée, tolérée le premier jour de l’utilisation de l’hémicycle réhabilité ». Il justifie cette critique par le fait que « ces micros ont été offerts par la Corée ».
Le député affirme que c’est « une honte qu’une Assemblée nationale accepte ce genre de don et en même temps refuse, depuis septembre 2022, de rendre compte aux 165 députés de la gestion de ses budgets ». Il en déduit que « cette Assemblée est tout sauf nationale » car elle refuse de se prononcer sur des dossiers comme « la présence militaire française au Sénégal, ou le franc CFA, qui ont un rapport avec la souveraineté ».
Si cette rénovation fait le bonheur de certains, d'autres députés la dénoncent. C’est le cas du député Guy Marius Sagna. Selon le journal Bès-bi, qui rapporte l’information dans sa parution du jour, mardi, Guy a critiqué cette initiative. « Je dénonce l’inscription 'Republic of Korea. Koica' sur les micros qui a été imposée, tolérée le premier jour de l’utilisation de l’hémicycle réhabilité ». Il justifie cette critique par le fait que « ces micros ont été offerts par la Corée ».
Le député affirme que c’est « une honte qu’une Assemblée nationale accepte ce genre de don et en même temps refuse, depuis septembre 2022, de rendre compte aux 165 députés de la gestion de ses budgets ». Il en déduit que « cette Assemblée est tout sauf nationale » car elle refuse de se prononcer sur des dossiers comme « la présence militaire française au Sénégal, ou le franc CFA, qui ont un rapport avec la souveraineté ».
Autres articles
-
Daaka de Médina Gounass : bilan sanitaire à mi-parcours, une situation sous contrôle
-
Budget, carte de presse, RTS, dialogue : le SYNPICS dresse un tableau alarmant de la situation des médias
-
Fête du Travail : Moustapha Cissé plaide pour une presse forte, digne et résolument souveraine
-
Le SYNPICS interpelle le Président Diomaye sur la suspension de 381 médias
-
« Médias non conformes », la fausse route du ministère de la Communication (par Moussa Ngom)