
Projets pour le développement du secteur des télécoms
«Cette année nous envisageons de développer un certain nombre de projets qui ont un impact majeur dans le développement du secteur notamment la mise en place des Mveno (Opérateurs mobiles virtuels), les free roaming, les opérateurs d’infrastructures. Donc quand le secteur bouge, il est quand même important qu’on se retrouve pour donner toutes les informations à ceux-là qui sont chargés de les véhiculer. Si je prends le cas du dégroupage, aujourd’hui avec l’opérateur historique Sonatel, tout ce qui est boucle local, il est important dans le cas de la régulation, de faire en sorte que cette partie de la boucle soit accessible aux autres, au même titre que l’opérateur historique ».
L’ouverture du marché d’internet à d’autres opérateurs
«La deuxième chose ce sont les fournisseurs d’accès internet vous savez depuis 6 mois nous sommes en train de compléter l’écosystème des compagnies de fournisseurs au Sénégal en faisant venir trois fournisseurs d’accès à internet qui vont, au même titre que les opérateurs actuels, fournir l’accès à internet: les opérateurs mobiles virtuels. Il est important que nous puissions ouvrir la concurrence. Cette ouverture de la concurrence se fera sans créer de réseaux supplémentaires mais comme il en existe dans les pays développés où on des opérateurs virtuels qui n’ont pas leur propre réseau mais qui s’appuient sur le réseau existant des opérateurs pour proposer des offres aux clients».
La licence 4G n’appartient pas à la Sonatel
«Nous n’avons pas attribué de licence 4G. Pour attribuer une licence, le Code des télécommunications est très clair. Il faut lancer un appel à candidature. Ce que nous avons fait en janvier 2015 quand nous avons lancé un appel à candidature. Cet appel était infructueux. Nous avons dit que compte tenu des indications que nous avons reçu, de permettre aux consommateurs sénégalais d’avoir la 4G avant la fin de l’année 2016. Le seul opérateur qui a la 4G je ne parlerai pas de licence 4G: c’est la Sonatel. Dans le cahier de charge des opérateurs, il ne figure pas la 4G. C’est la raison pour laquelle quand on a modifié le cahier de charge de Sonatel pour assurer les obligations de couverture nous en avons également profité pour élargir la liste des services et des réseaux qui sont concernés par la nouvelle concession. Nous n’avons pas donné une licence telle que nous l’avons définie lors du lancement mais nous avons la 4G au Sénégal. Il n’est pas interdit aujourd’hui qu’un autre opérateur négocie avec nous pour qu’on puisse offrir la concession mais des conditions de modification de la concession sont prévues. Il est prévu également dans les cahiers de charge qu’on peut modifier les conditions et les dispositions contenues dans les cahiers de charge».
Bonne santé du secteur des télécommunications
«Au titre de l’année 2016 nous avons réalisé un chiffre d’affaire de plus de 10,5%. Tigo a eu un bond de 15% Sonatel mobile 10% et expresso 7%. Donc le secteur se porte bien notamment la croissance tel le développement du mobile. Seulement il y a eu quelques points sur lesquels il faut s’arrêter. Nous avons constaté que le trafic international entrant a baissé du fait que cette utilisation massive des OTT tels que les Wisapp et autres sont devenus aujourd’hui des outils que les clients utilisent le plus souvent pour recevoir des appels internationaux. Cela se fait au détriment du trafic entrant international. Mais de l’autre coté nous avons vu que l'usage de l’internet s'est développé. C’est ce qui a permis de faire un bond en avant dans le secteur en ce qui concerne l’internet. Globalement nous avons fait la mesure du secteur à la fin de décembre 2016. On a vu que sur ce rapport les parts de marché sont en train de bouger. Aujourd’hui nous avons 52,26% pour Sonatel, 25,86% pour Tigo et 21,87% pour Expresso. Ce qu’il faut constater, c’est qu’il n’y a que Expresso qui a gagné en terme de progression de parts de marché».
«Cette année nous envisageons de développer un certain nombre de projets qui ont un impact majeur dans le développement du secteur notamment la mise en place des Mveno (Opérateurs mobiles virtuels), les free roaming, les opérateurs d’infrastructures. Donc quand le secteur bouge, il est quand même important qu’on se retrouve pour donner toutes les informations à ceux-là qui sont chargés de les véhiculer. Si je prends le cas du dégroupage, aujourd’hui avec l’opérateur historique Sonatel, tout ce qui est boucle local, il est important dans le cas de la régulation, de faire en sorte que cette partie de la boucle soit accessible aux autres, au même titre que l’opérateur historique ».
L’ouverture du marché d’internet à d’autres opérateurs
«La deuxième chose ce sont les fournisseurs d’accès internet vous savez depuis 6 mois nous sommes en train de compléter l’écosystème des compagnies de fournisseurs au Sénégal en faisant venir trois fournisseurs d’accès à internet qui vont, au même titre que les opérateurs actuels, fournir l’accès à internet: les opérateurs mobiles virtuels. Il est important que nous puissions ouvrir la concurrence. Cette ouverture de la concurrence se fera sans créer de réseaux supplémentaires mais comme il en existe dans les pays développés où on des opérateurs virtuels qui n’ont pas leur propre réseau mais qui s’appuient sur le réseau existant des opérateurs pour proposer des offres aux clients».
La licence 4G n’appartient pas à la Sonatel
«Nous n’avons pas attribué de licence 4G. Pour attribuer une licence, le Code des télécommunications est très clair. Il faut lancer un appel à candidature. Ce que nous avons fait en janvier 2015 quand nous avons lancé un appel à candidature. Cet appel était infructueux. Nous avons dit que compte tenu des indications que nous avons reçu, de permettre aux consommateurs sénégalais d’avoir la 4G avant la fin de l’année 2016. Le seul opérateur qui a la 4G je ne parlerai pas de licence 4G: c’est la Sonatel. Dans le cahier de charge des opérateurs, il ne figure pas la 4G. C’est la raison pour laquelle quand on a modifié le cahier de charge de Sonatel pour assurer les obligations de couverture nous en avons également profité pour élargir la liste des services et des réseaux qui sont concernés par la nouvelle concession. Nous n’avons pas donné une licence telle que nous l’avons définie lors du lancement mais nous avons la 4G au Sénégal. Il n’est pas interdit aujourd’hui qu’un autre opérateur négocie avec nous pour qu’on puisse offrir la concession mais des conditions de modification de la concession sont prévues. Il est prévu également dans les cahiers de charge qu’on peut modifier les conditions et les dispositions contenues dans les cahiers de charge».
Bonne santé du secteur des télécommunications
«Au titre de l’année 2016 nous avons réalisé un chiffre d’affaire de plus de 10,5%. Tigo a eu un bond de 15% Sonatel mobile 10% et expresso 7%. Donc le secteur se porte bien notamment la croissance tel le développement du mobile. Seulement il y a eu quelques points sur lesquels il faut s’arrêter. Nous avons constaté que le trafic international entrant a baissé du fait que cette utilisation massive des OTT tels que les Wisapp et autres sont devenus aujourd’hui des outils que les clients utilisent le plus souvent pour recevoir des appels internationaux. Cela se fait au détriment du trafic entrant international. Mais de l’autre coté nous avons vu que l'usage de l’internet s'est développé. C’est ce qui a permis de faire un bond en avant dans le secteur en ce qui concerne l’internet. Globalement nous avons fait la mesure du secteur à la fin de décembre 2016. On a vu que sur ce rapport les parts de marché sont en train de bouger. Aujourd’hui nous avons 52,26% pour Sonatel, 25,86% pour Tigo et 21,87% pour Expresso. Ce qu’il faut constater, c’est qu’il n’y a que Expresso qui a gagné en terme de progression de parts de marché».
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