L’étudiant de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), Abdou Thiam qui fournissait de manière clandestine des vidéos à caractère pornographique à Seneporno est tombé en même temps que son complice Abdou Sall Cissé, également étudiant l'Ucad.
Sur cette affaire, près de 30 personnes ont été piégées et filmées nues avant que les vidéos de leur intimité ne soient vendues au site Seneporno qui les diffusait.
Toutes ces personnes ont été victimes de cybercriminalité, dont Aissatou T, présentée à tort dans sa vidéo diffusée sur Seneporno comme étant la sœur d’une journaliste connue et O. Fatou S, une cadre de l’administration à qui un célèbre animateur de télé avait promis, sans succès de faire retirer la vidéo.
L’étudiant a été entendu dans les locaux de la division spéciale de la lutte contre la cybercriminalité où il était en garde-à-vue.
Abdou se déclarait être un riche célibataire qui cherchait une femme sénégalaise. C’est par la suite qu’il a noué des contacts avec ses victimes. Ces dernières lui envoyaient des photos et vidéos nues, qu’il enregistrait pour ensuite les revendre au site Seneporno. D'après ses propres aveux, les vidéos étaient vendues entre 100 000 et 110 000 Fcfa, selon la qualité. L'argent lui était envoyé par une certaine F. Ndiaye, car le propriétaire du site Seneporno, qui vit à l'étranger, a été formellement identifié.
Selon Libération, cette affaire est partie pour faire beaucoup de bruits surtout dans le milieu de la presse en ligne. Parce que les enquêtes en cours ont décelé des relations troubles entre certains journalistes de la presse en ligne et le très controversé site Seneporno.
Sur cette affaire, près de 30 personnes ont été piégées et filmées nues avant que les vidéos de leur intimité ne soient vendues au site Seneporno qui les diffusait.
Toutes ces personnes ont été victimes de cybercriminalité, dont Aissatou T, présentée à tort dans sa vidéo diffusée sur Seneporno comme étant la sœur d’une journaliste connue et O. Fatou S, une cadre de l’administration à qui un célèbre animateur de télé avait promis, sans succès de faire retirer la vidéo.
L’étudiant a été entendu dans les locaux de la division spéciale de la lutte contre la cybercriminalité où il était en garde-à-vue.
Abdou se déclarait être un riche célibataire qui cherchait une femme sénégalaise. C’est par la suite qu’il a noué des contacts avec ses victimes. Ces dernières lui envoyaient des photos et vidéos nues, qu’il enregistrait pour ensuite les revendre au site Seneporno. D'après ses propres aveux, les vidéos étaient vendues entre 100 000 et 110 000 Fcfa, selon la qualité. L'argent lui était envoyé par une certaine F. Ndiaye, car le propriétaire du site Seneporno, qui vit à l'étranger, a été formellement identifié.
Selon Libération, cette affaire est partie pour faire beaucoup de bruits surtout dans le milieu de la presse en ligne. Parce que les enquêtes en cours ont décelé des relations troubles entre certains journalistes de la presse en ligne et le très controversé site Seneporno.
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