Depuis l'annonce de la nouvelle date pour la tenue de la présidentielle retenue à l'issue du dialogue national initié par le chef de l'Etat, les commentaires vont bon train. Si certains pensent que ce dialogue n'avait pas lieu d'être, d'autres estiment que la date proposée n'est pas conforme avec ce que le Conseil constitutionnel avait demandé dans sa décision du 15 février. Suite à ces réactions, Abdoul Mbaye appelle à mettre moins "d’émotion dans les appréciations de situations politiques".
"Binationalité et rétroactivité. Mes chers compatriotes, mettons moins d’émotion dans nos appréciations de situations politiques", a-t-il lancé sur X.
Le président de l'Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) est d'avis que : "La jurisprudence établie par le Considérant 89 de la Décision N°2/2/2024 du Conseil constitutionnel qui a fait tant de bruit pourrait conduire demain à accepter comme candidat un citoyen « exclusivement sénégalais » au moment du dépôt de son dossier, mais ayant acquis une seconde nationalité avant la Décision du Conseil constitutionnel établissant la liste définitive des candidats. Le Conseil constitutionnel violerait ainsi l’article 31 de notre Constitution par application de sa propre jurisprudence… Face à un adversaire ou à un allié, il existe une « politique autrement » compatible avec la rationalité et la justice".
"Binationalité et rétroactivité. Mes chers compatriotes, mettons moins d’émotion dans nos appréciations de situations politiques", a-t-il lancé sur X.
Le président de l'Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) est d'avis que : "La jurisprudence établie par le Considérant 89 de la Décision N°2/2/2024 du Conseil constitutionnel qui a fait tant de bruit pourrait conduire demain à accepter comme candidat un citoyen « exclusivement sénégalais » au moment du dépôt de son dossier, mais ayant acquis une seconde nationalité avant la Décision du Conseil constitutionnel établissant la liste définitive des candidats. Le Conseil constitutionnel violerait ainsi l’article 31 de notre Constitution par application de sa propre jurisprudence… Face à un adversaire ou à un allié, il existe une « politique autrement » compatible avec la rationalité et la justice".
Binationalité et rétroactivité. Mes chers compatriotes, mettons moins d’émotion dans nos appréciations de situations politiques. La jurisprudence établie par le Considérant 89 de la Décision N°2/2/2024 du Conseil constitutionnel qui a fait tant de bruit pourrait conduire demain à…
— Abdoul MBAYE (@AbdoulMBAYE2019) February 28, 2024
Autres articles
-
Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"
-
Ousmane Sonko met fin aux spéculations sur son éligibilité : « Rien ne peut m’empêcher d’être candidat »
-
Fonds alloués aux victimes de 2021-2024 : seulement 1,8 milliard débloqué, Maimouna Dièye s’explique sur les retards
-
Bénin : Patrice Talon assure avoir "nettoyé les dernières poches de résistance des mutins"
-
Tentative de coup d’Etat au Bénin : la CEDEAO "a ordonné le déploiement immédiat d'éléments de la Force en attente"




Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"


