En vue d’une bonne prise en compte des besoins des femmes et du monde rural, le Cadre de concertation et de coopération des ruraux (CNCR), a jugé ‘’nécessaire’’ de procéder à une révision de la loi d’orientation agrosylvopastorale (LOASP).
A en croire la présidente du collège des femmes du CNCR, Yaram Fall Niang, « Ça fait presque vingt ans que cette loi a été élaborée et adoptée. Aujourd’hui, le CNCR juge nécessaire de réviser cette loi pour une meilleure prise en compte des préoccupations du monde paysan. Nous estimons qu’il faut impliquer davantage les femmes, dans la mesure où elles représentent plus de 60 % de la main-d’œuvre des exploitations familiales ».
La présidente a tenu ses propos au terme d’un forum du CNCR organisé mercredi 3 janvier à Kaolack. Ledit forum portait sur le thème : « Quelle contribution des femmes rurales dans la révision de la LOASP pour atteindre la souveraineté alimentaire ? »
Face à la presse, Yaram souligne que les femmes accèdent à moins de 10 % des ressources productives, dont la terre, le financement, la formation, l’accès à l’eau et aux marchés.
Elle espère aussi qu’une révision de la loi d’orientation agrosylvopastorale peut permettre d’augmenter la part qu’elles détiennent de ces ressources.
A en croire la présidente du collège des femmes du CNCR, Yaram Fall Niang, « Ça fait presque vingt ans que cette loi a été élaborée et adoptée. Aujourd’hui, le CNCR juge nécessaire de réviser cette loi pour une meilleure prise en compte des préoccupations du monde paysan. Nous estimons qu’il faut impliquer davantage les femmes, dans la mesure où elles représentent plus de 60 % de la main-d’œuvre des exploitations familiales ».
La présidente a tenu ses propos au terme d’un forum du CNCR organisé mercredi 3 janvier à Kaolack. Ledit forum portait sur le thème : « Quelle contribution des femmes rurales dans la révision de la LOASP pour atteindre la souveraineté alimentaire ? »
Face à la presse, Yaram souligne que les femmes accèdent à moins de 10 % des ressources productives, dont la terre, le financement, la formation, l’accès à l’eau et aux marchés.
Elle espère aussi qu’une révision de la loi d’orientation agrosylvopastorale peut permettre d’augmenter la part qu’elles détiennent de ces ressources.
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