«Il n’y a pas un accord signé. Tout ce qui se dit pour le moment n’engage que Jammeh. » C’est ce qu’a déclaré Adama Barrow, le président de la République de Gambie qui se prononçait sur les rumeurs d’accords qui confèrent une amnistie totale à Yaya Jammeh.
Et justement, annonce-t-il, il est primordial que les Gambiens sachent ce qui s’est réellement passé durant les 22 ans de règne de Yaya Jammeh. C’est dans ce sens qu’il a déclaré à nos confrères de l’Observateur, qu’il va mettre en place «une commission qui se chargera d’auditer ses 22 ans de pouvoir. Nous attendrons ses recommandations pour pouvoir prendre une décision. »
Se défendant d’enclencher une quelconque chasse aux sorcières, M. Barrow confie que «la commission sera indépendante et travaillera pour une réconciliation nationale. Que tous les Gambiens soient égaux devant la loi et s’il faut rendre justice, qu’elle le soit. Nous ne voulons plus de deux poids deux mesures dans notre pays. »
Revenant sur les demandes de son prédécesseur, le chef de l’Etat gambien qui séjourne toujours au Sénégal indique que : « Pour le moment, nous ne lui avons rien donné. Il n’a aucune garantie de ma part. La première chose c’était qu’il quitte le pays. C’est fait. Maintenant les négociations vont se poursuivre pour savoir ce qu’il peut avoir et ce qu’il n’aura pas. »
Et justement, annonce-t-il, il est primordial que les Gambiens sachent ce qui s’est réellement passé durant les 22 ans de règne de Yaya Jammeh. C’est dans ce sens qu’il a déclaré à nos confrères de l’Observateur, qu’il va mettre en place «une commission qui se chargera d’auditer ses 22 ans de pouvoir. Nous attendrons ses recommandations pour pouvoir prendre une décision. »
Se défendant d’enclencher une quelconque chasse aux sorcières, M. Barrow confie que «la commission sera indépendante et travaillera pour une réconciliation nationale. Que tous les Gambiens soient égaux devant la loi et s’il faut rendre justice, qu’elle le soit. Nous ne voulons plus de deux poids deux mesures dans notre pays. »
Revenant sur les demandes de son prédécesseur, le chef de l’Etat gambien qui séjourne toujours au Sénégal indique que : « Pour le moment, nous ne lui avons rien donné. Il n’a aucune garantie de ma part. La première chose c’était qu’il quitte le pays. C’est fait. Maintenant les négociations vont se poursuivre pour savoir ce qu’il peut avoir et ce qu’il n’aura pas. »
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