Le Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire a confirmé aujourd’hui sa décision de 2015 sur le cas de M. Karim Wade, ancien ministre d’État à la Coopération internationale du Sénégal, qui purge actuellement une peine de prison de six ans pour corruption.
«Le Groupe de travail se tient à son avis selon lequel la détention de M. Karim Wade est arbitraire », a déclaré le Président du groupe de travail M. Seong-Phil Hong. «Nous ne disposons d’aucune nouvelle information susceptible de nous amener à modifier notre décision». Dans une déclaration rendue publique aujourd’hui, le Groupe de travail a rappelé son avis du 20 Avril 2005, qui considère comme arbitraire la privation de liberté de M. Wade et a demandé au gouvernement du Sénégal de prendre les mesures nécessaires pour remédier à la situation et la rendre conforme aux normes internationales des droits de l’homme.
«Nous sommes au courant des allégations formulées dans certains médias relatives à un conflit d’intérêt supposé de l’un des membres du Groupe de travail qui l’exclurait de la participation aux délibérations dans cette affaire », a noté M. Hong. «Nous avons examiné l’allégation et constaté qu’elle était sans fondement.»
«Le groupe de travail estime que ses membres ont scrupuleusement adhéré au Code de conduite des titulaires de mandat des Procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme, qui les oblige à exercer leurs fonctions sur la base d’une évaluation indépendante, impartiale et professionnelle des faits en se fondant sur les normes des droits de l’homme internationalement reconnues», a souligné l’expert.
«Le Groupe de travail se tient à son avis selon lequel la détention de M. Karim Wade est arbitraire », a déclaré le Président du groupe de travail M. Seong-Phil Hong. «Nous ne disposons d’aucune nouvelle information susceptible de nous amener à modifier notre décision». Dans une déclaration rendue publique aujourd’hui, le Groupe de travail a rappelé son avis du 20 Avril 2005, qui considère comme arbitraire la privation de liberté de M. Wade et a demandé au gouvernement du Sénégal de prendre les mesures nécessaires pour remédier à la situation et la rendre conforme aux normes internationales des droits de l’homme.
«Nous sommes au courant des allégations formulées dans certains médias relatives à un conflit d’intérêt supposé de l’un des membres du Groupe de travail qui l’exclurait de la participation aux délibérations dans cette affaire », a noté M. Hong. «Nous avons examiné l’allégation et constaté qu’elle était sans fondement.»
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