
Complot ? Non, ce n'est pas ce que pense Aliou Sow de l'affaire Sonko-Adji Sarr qui a secoué le Sénégal entre février et mars 2021. L'ancien ministre de la Jeunesse de Wade parle «d'exploitation de la faiblesse ou d'imprudence d'un adversaire politique », dans une interview avec L'Observateur.
« Quel complot? Parlons plutôt d'exploitation de la faiblesse ou d'imprudence d'un adversaire considéré comme un ennemi avec une froideur aveuglante au point de rater la cible assez déterminée à entraîneur dans sa chute ainsi programmé les auteurs et facilitateurs de la tragi-comédie », a-t-il affirmé.
M. Sow a noté que « des précédents très graves en matière de liquidation d'opposants politiques, coupables ou innocents, font douter de la fiabilité de certaines décisions».
Pour lui, « être opposant ne doit point garantir l'impunité par la victimisation à outrance ou exposer à la guillotine du pouvoir par le refus de respecter les règles du jeu démocratique et de l'égalité des chances en politique».
Ne connaissant pas le fond du dossier, Aliou Sow n'a pas voulu trop commenté. Il a souhaité laisser la justice faire son travail « pour que lumière jaillisse engin ».
Au Sénégal, 14 personnes ont perdu la vie, lors de violentes manifestations nées de l'arrestation de l'opposant Ousmane Sonko, accusé de «viols et de menaces de mort» par une jeune masseuse de 21 ans.
« Quel complot? Parlons plutôt d'exploitation de la faiblesse ou d'imprudence d'un adversaire considéré comme un ennemi avec une froideur aveuglante au point de rater la cible assez déterminée à entraîneur dans sa chute ainsi programmé les auteurs et facilitateurs de la tragi-comédie », a-t-il affirmé.
M. Sow a noté que « des précédents très graves en matière de liquidation d'opposants politiques, coupables ou innocents, font douter de la fiabilité de certaines décisions».
Pour lui, « être opposant ne doit point garantir l'impunité par la victimisation à outrance ou exposer à la guillotine du pouvoir par le refus de respecter les règles du jeu démocratique et de l'égalité des chances en politique».
Ne connaissant pas le fond du dossier, Aliou Sow n'a pas voulu trop commenté. Il a souhaité laisser la justice faire son travail « pour que lumière jaillisse engin ».
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