Une avancée majeure dans la gestion des outils de certification des causes de décès est en cours à Kolda (sud). Médecins, officiers de police judiciaire et magistrats se sont retrouvés ce vendredi pour un atelier de partage organisé par le Centre hospitalier régional (CHR), avec pour objectif l’harmonisation des procédures de certification des causes de décès selon les standards de la Classification internationale des maladies – 11e version (CIM-11).
À travers cette rencontre, les participants ont examiné et partagé un référentiel national sur la certification des causes médicales de décès, ainsi que les outils de collecte d’informations sur la mortalité au sein des structures sanitaires. Ces instruments visent à standardiser les pratiques et à garantir la fiabilité des données transmises aux systèmes de santé publique et de justice.
Selon le Directeur du CHR de Kolda, Dr Fallou Niang, cette initiative est un pas décisif vers une meilleure synergie entre les services hospitaliers, judiciaires et d’état-civil. Il a souligné l'importance de la coordination entre ces différents corps pour une prise en charge plus rigoureuse et scientifiquement fondée des cas de décès, notamment dans un contexte judiciaire.
« L’ambition est de mettre en place des unités médico-judiciaires dotées d’un personnel hétérogène. Ces unités serviront de laboratoires de médecine légale et d’expertise médico-judiciaire, capables de fournir des avis éclairés pour une meilleure décision de justice », a précisé Dr Niang.
En intégrant les recommandations de la CIM-11, le Sénégal franchit ainsi un cap important vers une meilleure gouvernance sanitaire et judiciaire, avec un accent particulier sur la transparence, la rigueur scientifique et la collaboration intersectorielle.
À travers cette rencontre, les participants ont examiné et partagé un référentiel national sur la certification des causes médicales de décès, ainsi que les outils de collecte d’informations sur la mortalité au sein des structures sanitaires. Ces instruments visent à standardiser les pratiques et à garantir la fiabilité des données transmises aux systèmes de santé publique et de justice.
Selon le Directeur du CHR de Kolda, Dr Fallou Niang, cette initiative est un pas décisif vers une meilleure synergie entre les services hospitaliers, judiciaires et d’état-civil. Il a souligné l'importance de la coordination entre ces différents corps pour une prise en charge plus rigoureuse et scientifiquement fondée des cas de décès, notamment dans un contexte judiciaire.
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