Le collectif « Rappel à l’Ordre » a fermement démenti les accusations portées par le groupe Walfadjri TV, qui a évoqué dans un communiqué « avoir été victime d’une tentative de lynchage lors de la manifestation tenue le 23 mai à Dakar. » Dans un droit de réponse publié ce mardi, les organisateurs de ladite marche affirment qu’« à aucun moment, l’équipe de Walf TV n’a été agressée ou bousculée ».
Selon le collectif, le malentendu provient de l’installation de l’équipe de Walf TV « sur le podium principal et derrière les organisateurs, sans concertation préalable ». Cette présence inattendue aurait, selon eux, « interféré avec le bon déroulement de l’événement » et perturbé l’organisation prévue pour les médias.
Les organisateurs disent avoir abordé « poliment les journalistes pour leur demander de rejoindre l’espace réservé aux autres organes de presse. Face au refus de Walf TV, un membre du collectif aurait pris la parole au micro pour exposer la situation au public et demander que le désaccord soit exprimé par des huées ».
Le collectif insiste : « Toutes les vidéos disponibles attestent que les journalistes n’ont subi ni violence physique, ni bousculade ». Ils dénoncent ce qu’ils qualifient de « tentative de manipulation » et appellent Walf TV à « revenir à une ligne d’information véridique et respectueuse des faits, en accord avec la déontologie journalistique initiée par son fondateur Sidy Lamine Niass ».
Selon le collectif, le malentendu provient de l’installation de l’équipe de Walf TV « sur le podium principal et derrière les organisateurs, sans concertation préalable ». Cette présence inattendue aurait, selon eux, « interféré avec le bon déroulement de l’événement » et perturbé l’organisation prévue pour les médias.
Les organisateurs disent avoir abordé « poliment les journalistes pour leur demander de rejoindre l’espace réservé aux autres organes de presse. Face au refus de Walf TV, un membre du collectif aurait pris la parole au micro pour exposer la situation au public et demander que le désaccord soit exprimé par des huées ».
Le collectif insiste : « Toutes les vidéos disponibles attestent que les journalistes n’ont subi ni violence physique, ni bousculade ». Ils dénoncent ce qu’ils qualifient de « tentative de manipulation » et appellent Walf TV à « revenir à une ligne d’information véridique et respectueuse des faits, en accord avec la déontologie journalistique initiée par son fondateur Sidy Lamine Niass ».
Autres articles
-
Kolda : le secteur du BTP paralysé par une pénurie de sable
-
Vente d’un immeuble de Bougane : le Tribunal de commerce bloque la Banque Agricole
-
Contentieux autour de Greentech Sénégal : la société mère française poursuit sa filiale et sa présidente Hapsatou Sy
-
Matam et Ourossogui : les corps sans vie d’un cordonnier et d’un chauffeur de transport retrouvés
-
"Diffamation" contre Vicas et Deltas : Dr Cheikh Dieng obtient la réouverture du procès