Des armes de petits calibres qui sont à l'origine de malheur en Afrique et dans le monde (Photo: centpapiers.com)
Le premier séminaire régional traitant du Commerce des armes est ouvert ce mardi 28 avril à Dakar. Pendant deux jours les participants vont discuter sur la portée et les conséquences d’un éventuel traité sur le Commerce des armes. «La problématique des armes légères et de petit calibre, la maîtrise des flux des armes conventionnelles notamment, est un problème qui tient à cœur le continent africain en général et l’Etat du Sénégal en particulier» a souligné le ministre d’Etat, ministre des Force armées sénégalais, Bécaye Diop.
Selon lui «une solution globale pour la maîtrise du commerce des armes ne pourra être trouvée qu’à travers la mise en place au niveau mondial, d’un instrument international juridiquement contraignant». Parlant du Sénégal, il a fait savoir qu’il s’est toujours battu contre la commercialisation et la circulation des armes légères. Toutefois, il a précisé : «compte tenu de l’environnement, il faut reconnaître que ce n’est pas chose aisée, mais nous nous battons avec nos moyens pour mettre un terme à ce commerce qui est préjudiciable à la paix(…)».
Le séminaire est organisé par l’ONUDIR (l’Institut des nations-Unies pour la recherche sur le désarmement) dans le cadre de la mise en œuvre du processus d’élaboration d’un Traité sur le Commerce des armes. «Il est important de pouvoir réguler comment les armes sont transférées d’un pays producteurs à un pays acquéreur, on ne peut pas dire qu’il y a des responsables d’un côté et pas de l’autre» a soutenu la directrice adjointe de l’ONUDIR Christiane Agboton-Johnson.
Le projet sur la mise en place d’un Traité sur le Commerce des armes a été lancé à Genève et consiste à l’organisation de six séminaires régionaux pour couvrir le monde entier selon Christiane Agboton-Johnson. Ainsi d’autres rencontres sont prévues au Mexique, à Amman, à Kuala Lumpur etc.
Selon lui «une solution globale pour la maîtrise du commerce des armes ne pourra être trouvée qu’à travers la mise en place au niveau mondial, d’un instrument international juridiquement contraignant». Parlant du Sénégal, il a fait savoir qu’il s’est toujours battu contre la commercialisation et la circulation des armes légères. Toutefois, il a précisé : «compte tenu de l’environnement, il faut reconnaître que ce n’est pas chose aisée, mais nous nous battons avec nos moyens pour mettre un terme à ce commerce qui est préjudiciable à la paix(…)».
Le séminaire est organisé par l’ONUDIR (l’Institut des nations-Unies pour la recherche sur le désarmement) dans le cadre de la mise en œuvre du processus d’élaboration d’un Traité sur le Commerce des armes. «Il est important de pouvoir réguler comment les armes sont transférées d’un pays producteurs à un pays acquéreur, on ne peut pas dire qu’il y a des responsables d’un côté et pas de l’autre» a soutenu la directrice adjointe de l’ONUDIR Christiane Agboton-Johnson.
Le projet sur la mise en place d’un Traité sur le Commerce des armes a été lancé à Genève et consiste à l’organisation de six séminaires régionaux pour couvrir le monde entier selon Christiane Agboton-Johnson. Ainsi d’autres rencontres sont prévues au Mexique, à Amman, à Kuala Lumpur etc.
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