image des affrontements de jeudi
Un mort, un étudiant, depuis ce jeudi. Pourtant, ils étaient nombreux ceux qui s’attendaient à un tel drame. L’explication est simple, le campus social de l’UCAD est transformé depuis le début de l’année en champ de bataille. Et plus grave, des affrontements entre force de l’ordre et étudiants s’y passent la nuit, donc dans une insécurité totale.
Les forces de l’ordre appelées par les étudiants « forces de désordre » méritent réellement ce surnom. Elles interpellent gratuitement des étudiants qui ont juste la malchance de croiser leur chemin les jours de manifestations. Leur modus operandi est trop simple, quand un élément du groupement mobile d’intervention (GMI), interpelle un suspect, il lui demande juste de montrer ses bras pour voir s'il a participé aux affrontements en lançant des pierres.
Parfois, des personnes qui n’ont rien à voir avec ces batailles sont interpelées et envoyées en prison. C’était le cas ce jeudi encore, par exemple un nouveau bachelier qui était parti à l’Ecole Supérieure Polytechnique (ex ENSUT) pour des tests d’entrée est passé finalement la nuit au commissariat de la Médina ce jeudi avant d’être transféré avec d’autres étudiants au commissariat central de Dakar.
Il est temps de mettre fin à la situation de chaos à l’université de Dakar. Face à la détermination des autorités et d’une bonne frange de la communauté estudiantine, le risque est encore gros de compter d’autres éléments sur la liste macabre qui ne cesse de s’allonger dans le Temple du savoir qui a perdu depuis belle lurette sa raison d’être.
Les forces de l’ordre appelées par les étudiants « forces de désordre » méritent réellement ce surnom. Elles interpellent gratuitement des étudiants qui ont juste la malchance de croiser leur chemin les jours de manifestations. Leur modus operandi est trop simple, quand un élément du groupement mobile d’intervention (GMI), interpelle un suspect, il lui demande juste de montrer ses bras pour voir s'il a participé aux affrontements en lançant des pierres.
Parfois, des personnes qui n’ont rien à voir avec ces batailles sont interpelées et envoyées en prison. C’était le cas ce jeudi encore, par exemple un nouveau bachelier qui était parti à l’Ecole Supérieure Polytechnique (ex ENSUT) pour des tests d’entrée est passé finalement la nuit au commissariat de la Médina ce jeudi avant d’être transféré avec d’autres étudiants au commissariat central de Dakar.
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