Le procès d'Alima Fall, surnommée "Suppo", et de ses six coaccusés a eu lieu ce mercredi 5 février au tribunal de Dakar. Les sept prévenus sont poursuivis pour mise en danger de la vie d'autrui, administration de substances nuisibles et vente illégale de produits pharmaceutiques illicites.
À la barre, Alima Fall, connue sous le nom d'Alima "Suppo", a fermement nié les faits qui lui sont reprochés. Elle a d’abord expliqué : "Je vends des produits naturels bio. Je ne savais pas que c'était interdit." En réponse à une question du juge sur sa formation, elle a précisé : "J'ai suivi une formation sur les produits céréaliers, je ne savais pas que ces produits étaient dangereux. Je les ai utilisés personnellement, et certains membres de ma famille aussi, sans jamais constater de conséquences négatives."
Interrogée sur la provenance de ses produits, Alima Fall a ajouté : "Les produits, c’est moi qui les fabrique, pour les autres, je les achète chez Keur Serigne Bi." Quant à la question des factures, elle a répondu : "Non, il n’y a pas de facture."
Le juge a ensuite cherché à savoir si Alima Fall était pharmacienne, ce à quoi elle a répondu négativement, précisant : "Non, ce que je vends ne se trouve pas dans les pharmacies. Je vends des produits bio à base de karité. J'ai une licence que j’ai présentée aux forces de l’ordre, mais on m’a dit que ce n’était pas suffisant."
Elle a poursuivi : "Je n’ai pas suivi de formation spécifique à ce sujet. Je faisais des recherches sur YouTube pour produire les pommades. Mais je réfute l’idée selon laquelle je mets la vie des gens en danger." Malgré ses dénégations, elle a reconnu, dans une certaine mesure, avoir vendu des produits sans autorisation.
À la barre, Alima Fall, connue sous le nom d'Alima "Suppo", a fermement nié les faits qui lui sont reprochés. Elle a d’abord expliqué : "Je vends des produits naturels bio. Je ne savais pas que c'était interdit." En réponse à une question du juge sur sa formation, elle a précisé : "J'ai suivi une formation sur les produits céréaliers, je ne savais pas que ces produits étaient dangereux. Je les ai utilisés personnellement, et certains membres de ma famille aussi, sans jamais constater de conséquences négatives."
Interrogée sur la provenance de ses produits, Alima Fall a ajouté : "Les produits, c’est moi qui les fabrique, pour les autres, je les achète chez Keur Serigne Bi." Quant à la question des factures, elle a répondu : "Non, il n’y a pas de facture."
Le juge a ensuite cherché à savoir si Alima Fall était pharmacienne, ce à quoi elle a répondu négativement, précisant : "Non, ce que je vends ne se trouve pas dans les pharmacies. Je vends des produits bio à base de karité. J'ai une licence que j’ai présentée aux forces de l’ordre, mais on m’a dit que ce n’était pas suffisant."
Elle a poursuivi : "Je n’ai pas suivi de formation spécifique à ce sujet. Je faisais des recherches sur YouTube pour produire les pommades. Mais je réfute l’idée selon laquelle je mets la vie des gens en danger." Malgré ses dénégations, elle a reconnu, dans une certaine mesure, avoir vendu des produits sans autorisation.
Autres articles
-
Thiès : le préfet «interdit les courses et les rodéos des Jakartaman et autres motocyclistes»
-
Pénurie de pomme de terre à Dakar : les autorités reconnaissent «des dysfonctionnements dans l’approvisionnement»
-
Kolda : Néné Koïta appelle à une mobilisation massive pour porter Ousmane Sonko au pouvoir
-
En Côte d'Ivoire, les femmes sous représentées lors des élections législatives du 27 décembre
-
Sécurité nationale : Me Bamba Cissé annonce des commissariats urbains pour chaque département du Sénégal




Thiès : le préfet «interdit les courses et les rodéos des Jakartaman et autres motocyclistes»


