Après la saisie du matériel de l’imprimerie de l’homme d’affaires, Bara Tall, qui était destiné à confectionner les documents du manifeste pour faire la lumière sur les 20 milliards de commissions, Amath Dansokho a déclaré que nous sommes en face d’un régime «organiquement liberticide et anti démocratique» qu'il faut arrêter.
«Si on ne fait pas barrage, ils ne s’arrêteront pas là puisqu’ils sont vitalement menacés ; ils savent ce qu’ils ont fait de ce pays», a argumenté le Président d'honneur du Parti de l’indépendance et du travail (PIT) qui ajoute : «Ils l’ont ruiné par leur prédation et ils ont peur. Voilà ce qui explique leur agression». Mais pour l’ancien Secrétaire général du PIT, c’est peine perdue. «De toutes façons ils ne nous impressionnent pas, ils ne nous font pas peur et ils ne peuvent pas nous acheter», a-t-il fait savoir.
A en croire Amath Dansokho, ce n’est pas la première fois que des Sénégalais sont victimes de ces agressions. «Ils ne changeront pas parce qu’encore une fois, c’est la deuxième fois qu’ils agressent alors qu’ils avaient déclaré qu’il n’y aurait plus d’agression», a-t-il rappelé.
«Farba Senghor n’est même pas encore jugé, les voilà qui entrent nuitamment dans une imprimerie pour arrêter les gens qui y sont et les trainer à la police», s’insurge Amath Dansokho qui clame : «Simplement, nous sommes tous en danger».
«Si on ne fait pas barrage, ils ne s’arrêteront pas là puisqu’ils sont vitalement menacés ; ils savent ce qu’ils ont fait de ce pays», a argumenté le Président d'honneur du Parti de l’indépendance et du travail (PIT) qui ajoute : «Ils l’ont ruiné par leur prédation et ils ont peur. Voilà ce qui explique leur agression». Mais pour l’ancien Secrétaire général du PIT, c’est peine perdue. «De toutes façons ils ne nous impressionnent pas, ils ne nous font pas peur et ils ne peuvent pas nous acheter», a-t-il fait savoir.
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