«Il ne manquait plus que ça à leur tableau de chasse ! Ne se contentant plus de provoquer l’écrasante majorité des croyants de ce pays, en foulant publiquement au pied nos valeurs, ils exportent maintenant leurs excentricités et nous humilient à l’étranger, en piétinant les symboles de notre République !», s’indigent ces deux (2) organisations.
Le communiqué parvenu à Pressafrik.com indique : «Prétextant de la célébration d’une prétendue «journée mondiale contre l’homophobie», la communauté homosexuelle sénégalaise a battu, ce mardi 17 mai, le macadam à Bruxelles, en arborant (suprême outrage !) le drapeau national, ce haut symbole de notre république. Dont l’article 319 de son Code pénal, se fondant sur la croyance de l’écrasante majorité des populations sénégalaises, réprime les actes contre-nature !».
«Qu’attendent alors ces fieffés libertins-donneurs-de-leçons, qui professent sur tous les toits que «la démocratie c’est la loi de la majorité» pour justement rétablir un parallélisme des formes, en faisant instituer une «Journée mondiale contre la polygamophobie» - en réplique légitime à l’intolérance dont fait preuve l’Occident à l’égard de la diaspora noire africaine et maghrébine, à laquelle le Code civile français (corsé par la loi Pasqua de 1993) fait vivre d’interminables calvaires, dès lors qu’il est question de prendre une seconde épouse ! Curieusement, on a jamais entendu ces organisations de droits de l’homme, si promptes à crier à «l’homophobie», dénoncer cet ostracisme qu’endurent les immigrés musulmans de France! Silence radio également quand leurs «protégés» arborent sans vergogne notre symbole national, dans des maudites gay-pride !», marquent JAMRA et MBAÑ GACCE qui condamnent «fermement cette énième provocation de ces déviants, apatrides sans scrupule, et regrettent que la compétence juridique de la future «Loi Mbery Sylla», criminalisant les actes contre-nature, ne soit circonscrite qu’aux limites géographiques de notre territoire national !».
Le communiqué parvenu à Pressafrik.com indique : «Prétextant de la célébration d’une prétendue «journée mondiale contre l’homophobie», la communauté homosexuelle sénégalaise a battu, ce mardi 17 mai, le macadam à Bruxelles, en arborant (suprême outrage !) le drapeau national, ce haut symbole de notre république. Dont l’article 319 de son Code pénal, se fondant sur la croyance de l’écrasante majorité des populations sénégalaises, réprime les actes contre-nature !».
«Qu’attendent alors ces fieffés libertins-donneurs-de-leçons, qui professent sur tous les toits que «la démocratie c’est la loi de la majorité» pour justement rétablir un parallélisme des formes, en faisant instituer une «Journée mondiale contre la polygamophobie» - en réplique légitime à l’intolérance dont fait preuve l’Occident à l’égard de la diaspora noire africaine et maghrébine, à laquelle le Code civile français (corsé par la loi Pasqua de 1993) fait vivre d’interminables calvaires, dès lors qu’il est question de prendre une seconde épouse ! Curieusement, on a jamais entendu ces organisations de droits de l’homme, si promptes à crier à «l’homophobie», dénoncer cet ostracisme qu’endurent les immigrés musulmans de France! Silence radio également quand leurs «protégés» arborent sans vergogne notre symbole national, dans des maudites gay-pride !», marquent JAMRA et MBAÑ GACCE qui condamnent «fermement cette énième provocation de ces déviants, apatrides sans scrupule, et regrettent que la compétence juridique de la future «Loi Mbery Sylla», criminalisant les actes contre-nature, ne soit circonscrite qu’aux limites géographiques de notre territoire national !».
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