Lors de la plénière à l'Assemblée nationale ce lundi, le député de la Coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), Cheikh Seck, s'est exprimé sur la récente prise de parole de Cheikh Oumar Diagne et la déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre Ousmane Sonko.
« M. le président (Amadou Mame Diop) nous avons tout entendu au sein de cette Assemblée. Mais, gardez votre humilité, gardez votre sérénité, gardez votre tranquillité. L’histoire retiendra que vous avez été le président (Assemblée nationale) le plus tolérant, le plus humble. Nous avions vu ici des micros démontés, des tables, des caisses soulevées. Et nous voilà aujourd’hui de l’autre côté, de l’opposition et nous resterons responsable, nous resterons républicains pour poser les problèmes pour l’intérêt du peuple », a dit le député et responsable du Parti socialiste.
Cheikh Seck s’est aussi prononcé la sortie de Cheikh Oumar Diagne, directeur des moyens généraux à la présidence de la République. Il a attiré l’attention sur les ‘’discours de croyance, de réflexe identitaire’’. Il a souligné l'importance de préserver la paix au Sénégal, rappelant le rôle des chefs religieux et Khalifes généraux comme régulateurs.
« Nous disons également que le Sénégal est un pays de paix. Nous avons des régulateurs dans notre pays. En l’occurrence, les chefs religieux, les Khalife généraux. Il y a des discours comme les discours de croyance, de réflexe identitaire, nous devons les éviter. Le premier responsable, c’est le président de la République. Comme c’est lui que les Sénégalais ont élu, il doit réagir s’il y a des problèmes avant qu’il ne soit trop tard », a-t-il insisté.
En ce qui concerne la déclaration de politique générale de Ousmane Sonko, prévue pour le vendredi 13 septembre, Cheikh Seck a minimisé son importance.
« Pour ce qui est de la DPG, qu’il vient, ou pas, ça nous est égal. S’il peut défier le président de la République sur ce qu’il a écrit et signé à lui de voir. De toute façon, nous sommes là », a-t-il laissé entendre au niveau de l’Hémicycle.
« M. le président (Amadou Mame Diop) nous avons tout entendu au sein de cette Assemblée. Mais, gardez votre humilité, gardez votre sérénité, gardez votre tranquillité. L’histoire retiendra que vous avez été le président (Assemblée nationale) le plus tolérant, le plus humble. Nous avions vu ici des micros démontés, des tables, des caisses soulevées. Et nous voilà aujourd’hui de l’autre côté, de l’opposition et nous resterons responsable, nous resterons républicains pour poser les problèmes pour l’intérêt du peuple », a dit le député et responsable du Parti socialiste.
Cheikh Seck s’est aussi prononcé la sortie de Cheikh Oumar Diagne, directeur des moyens généraux à la présidence de la République. Il a attiré l’attention sur les ‘’discours de croyance, de réflexe identitaire’’. Il a souligné l'importance de préserver la paix au Sénégal, rappelant le rôle des chefs religieux et Khalifes généraux comme régulateurs.
« Nous disons également que le Sénégal est un pays de paix. Nous avons des régulateurs dans notre pays. En l’occurrence, les chefs religieux, les Khalife généraux. Il y a des discours comme les discours de croyance, de réflexe identitaire, nous devons les éviter. Le premier responsable, c’est le président de la République. Comme c’est lui que les Sénégalais ont élu, il doit réagir s’il y a des problèmes avant qu’il ne soit trop tard », a-t-il insisté.
En ce qui concerne la déclaration de politique générale de Ousmane Sonko, prévue pour le vendredi 13 septembre, Cheikh Seck a minimisé son importance.
« Pour ce qui est de la DPG, qu’il vient, ou pas, ça nous est égal. S’il peut défier le président de la République sur ce qu’il a écrit et signé à lui de voir. De toute façon, nous sommes là », a-t-il laissé entendre au niveau de l’Hémicycle.
Autres articles
-
Critiqué par les députés de l’opposition : Mame Diarra Fam vole au secours du président de l’Assemblé nationale « Barki Yallah ils mentent Tu es BON !! »
-
Passage d'Ousmane Sonko à l'Assemblée nationale : l’opposition maintient son boycott et saisit le Conseil constitutionnel
-
Santé mentale : le Premier ministre déplore l’absence d’une politique structurée de mobilisation des financements
-
Modernisation du système de santé, gestion des patients, vente illicite de médicaments et l’exercice illégal d’activités médicales : les directives du Président Diomaye
-
Le Président Diomaye a exhorté le ministre de la Jeunesse de veiller à la réorganisation, du Conseil national de la Jeunesse avant le 1er juillet 2025