Rassemblés au sein du Cadre National de Coordination des partis Politiques, treize partis politiques ont apporté « un soutien indéfectible au président Mahamat Idriss Déby Itno », après l'attaque du palais présidentiel mercredi dans la soirée.
Dr Issa Doubragne est le porte-parole du Mouvement Patriotique du Salut, qui a signé le communiqué final. « Quelle que soit l'origine de cette attaque, nous nous dresserons comme un seul homme autour du maréchal et de son gouvernement et des forces sécurité et surtout, à un moment où nous fermons la transition, et ces personnes, d'où qu'elles viennent, choisissent de s'attaquer à la plus haute institution de notre pays », assure le porte-parole.
De son côté, Max Kemkoye, président de l’Union des Démocrates pour le Développement et le Progrès (UDP) et porte-parole de la cotation du Groupe de Concertation des Acteurs Politiques qui regroupe plusieurs partis d’opposition, s’interroge sur les circonstances de l’attaque : « Quand on nous dit qu'une bande de pieds nickelés a pu s'en prendre à une institution aussi sécurisée comme la présidente de la République, cela dénonce la fragilité du pouvoir qui est en place, si seulement la présidence de la République puisse être à portée de main d'une bande de pieds nickelés, cela interroge sur ce qu'on a vécu ce jour-là. » L’UDP réclame également l’ouverture d’une enquête indépendante du pouvoir pour dit-il, jeter toute la lumière sur les faits du 8 janvier.
Dr Issa Doubragne est le porte-parole du Mouvement Patriotique du Salut, qui a signé le communiqué final. « Quelle que soit l'origine de cette attaque, nous nous dresserons comme un seul homme autour du maréchal et de son gouvernement et des forces sécurité et surtout, à un moment où nous fermons la transition, et ces personnes, d'où qu'elles viennent, choisissent de s'attaquer à la plus haute institution de notre pays », assure le porte-parole.
De son côté, Max Kemkoye, président de l’Union des Démocrates pour le Développement et le Progrès (UDP) et porte-parole de la cotation du Groupe de Concertation des Acteurs Politiques qui regroupe plusieurs partis d’opposition, s’interroge sur les circonstances de l’attaque : « Quand on nous dit qu'une bande de pieds nickelés a pu s'en prendre à une institution aussi sécurisée comme la présidente de la République, cela dénonce la fragilité du pouvoir qui est en place, si seulement la présidence de la République puisse être à portée de main d'une bande de pieds nickelés, cela interroge sur ce qu'on a vécu ce jour-là. » L’UDP réclame également l’ouverture d’une enquête indépendante du pouvoir pour dit-il, jeter toute la lumière sur les faits du 8 janvier.
Autres articles
-
RDC: un incendie dans une embarcation fait au moins 143 morts
-
Le Mali s’oppose fermement à toute libération anticipée de l’ex-jihadiste Abdoulaziz al-Hassan
-
Madagascar: un député condamné à dix ans de prison pour trafic d’une espèce protégée de tortues
-
Nigeria: au cœur d’un scandale d’harcèlement sexuel, la sénatrice Natasha Akpoti dénonce une attaque contre sa maison
-
Est de la RDC: malgré des blocages, les discussions entre Kinshasa et l’AFC/M23 avancent à Doha