
La date d’entrée en vigueur de la mesure sur la baisse des denrées de première nécessité était prévue ce vendredi mais son application n’est toujours pas effective. Les denrées n’ont toujours pas connu de baisse au niveau des boutiques de Guédiawaye plus précisément au quartier Darou Salam. Les boutiquiers affirment ne pas encore détenir les nouveaux tarifs.
Mais, cet avis n’est pas partagé par les consommateurs qui affirment que "lorsqu’il s’agit d’augmenter les boutiquiers s’empressent d’appliquer la mesure mais quand c’est le contraire ils s’attardent à le faire", d’une part.
D’autre part, les consommateurs ajoutent que c’est une bonne initiative mais il n’ya pas réellement de baisse parce que les denrées sont passées du double au triple. Dans ce sillage, un père de famille qui travaille dans le gardiennage affirme qu’avant « la hausse des prix, son salaire pouvait entretenir sa famille jusqu’à la fin du mois. Maintenant avant le 15 du mois il se retrouve à sec. J’attends avec impatience la diminution du prix du gaz butane et de l’électricité".
Du côté des mères de famille, leur souhait c’est la diminution totale des produits de consommation courante. Une vendeuse de café déplore le fait que l’Etat ne pense à diminuer que lorsque les élections approchent, après ces dernières « les populations sont laissés pour compte".
Cependant, certains d’entre eux affirment qu’ils vont se fier aux grossistes. S’ils diminuent, ils appliqueront la même chose.
Dans cette optique, l’alimentation «Thiam et frères» du côté des Parcelles Assainies confie qu’il a commencé à appliquer la mesure depuis ce matin. "Je vends à ces prix mais je n’achète pas de marchandises".
Par ailleurs, du côté des forces de l’ordre aucun contrôle n’est fait pour voir si la mesure est appliquée.
Mais, cet avis n’est pas partagé par les consommateurs qui affirment que "lorsqu’il s’agit d’augmenter les boutiquiers s’empressent d’appliquer la mesure mais quand c’est le contraire ils s’attardent à le faire", d’une part.
D’autre part, les consommateurs ajoutent que c’est une bonne initiative mais il n’ya pas réellement de baisse parce que les denrées sont passées du double au triple. Dans ce sillage, un père de famille qui travaille dans le gardiennage affirme qu’avant « la hausse des prix, son salaire pouvait entretenir sa famille jusqu’à la fin du mois. Maintenant avant le 15 du mois il se retrouve à sec. J’attends avec impatience la diminution du prix du gaz butane et de l’électricité".
Du côté des mères de famille, leur souhait c’est la diminution totale des produits de consommation courante. Une vendeuse de café déplore le fait que l’Etat ne pense à diminuer que lorsque les élections approchent, après ces dernières « les populations sont laissés pour compte".
Cependant, certains d’entre eux affirment qu’ils vont se fier aux grossistes. S’ils diminuent, ils appliqueront la même chose.
Dans cette optique, l’alimentation «Thiam et frères» du côté des Parcelles Assainies confie qu’il a commencé à appliquer la mesure depuis ce matin. "Je vends à ces prix mais je n’achète pas de marchandises".
Par ailleurs, du côté des forces de l’ordre aucun contrôle n’est fait pour voir si la mesure est appliquée.
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