Le Bureau de la Conseillère Principale pour la Protection des Femmes de la MINUSMA a organisé un atelier de renforcement des capacités des officiers de police malienne à l’Ecole de maintien de la paix Alioune Blondin Beye de Bamako au cours duquel 40 officiers de police ont été formés sur l’accueil et l’orientation des victimes de violences sexuelles
La formation, intitulée « Accueil et orientation des victimes de violences sexuelles », a rassemblé 40 officiers de police (22 femmes et 18 hommes) venant de tout le Mali. « Les violences sexuelles sont des crimes graves qui doivent être pris très au sérieux et puni sévèrement », a déclaré le Commissaire Principal à ses 40 subordonnés.
Le Bureau de la conseillère principale pour la protection des femmes de la MINUSMA a saisi cette occasion pour remettre un kit informatique complet au chef de service des communications et des télétransmissions. Le matériel fourni doit appuyer la ligne verte dédiée aux violences basées sur le genre dans sa lutte contre l’impunité.
Depuis le début du conflit au Mali en 2012, le sous-groupe « violences basées sur le genre » a dénombré plus de 700 cas de violences sexuelles liées à ce conflit, rapportés par les différents acteurs travaillant sur cette thématique.
Cependant, la peur des représailles, la stigmatisation des victimes et le poids de la culture sont les principaux éléments qui empêchent les survivantes de dénoncer ces crimes dont elles sont victimes.
La formation, intitulée « Accueil et orientation des victimes de violences sexuelles », a rassemblé 40 officiers de police (22 femmes et 18 hommes) venant de tout le Mali. « Les violences sexuelles sont des crimes graves qui doivent être pris très au sérieux et puni sévèrement », a déclaré le Commissaire Principal à ses 40 subordonnés.
Le Bureau de la conseillère principale pour la protection des femmes de la MINUSMA a saisi cette occasion pour remettre un kit informatique complet au chef de service des communications et des télétransmissions. Le matériel fourni doit appuyer la ligne verte dédiée aux violences basées sur le genre dans sa lutte contre l’impunité.
Depuis le début du conflit au Mali en 2012, le sous-groupe « violences basées sur le genre » a dénombré plus de 700 cas de violences sexuelles liées à ce conflit, rapportés par les différents acteurs travaillant sur cette thématique.
Cependant, la peur des représailles, la stigmatisation des victimes et le poids de la culture sont les principaux éléments qui empêchent les survivantes de dénoncer ces crimes dont elles sont victimes.
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