Des portraits de candidats déchirés : c'est ce qu'évoque notamment la Symocel, un regroupement de plusieurs missions d'observation des élections, dans un communiqué publié ce lundi matin, en forme de bilan des premiers jours de campagne. La Symocel met aussi en garde contre les interférences telles que l'interdiction de meeting ou de créneaux aériens pour la circulation des candidats.
Luc Lutala, coordonnateur national de la Symocel, appelle toutes les parties à la retenue. « C’est un phénomène qui est manifeste pour des gens qui rejettent un candidat ou l’autre, de façon très particulière, ça arrive pour le candidat Félix Tshisekedi, ou pour Moïse Katumbi dans très peu de cas. Nous appelons le ministère de l’Intérieur à la sécurisation du processus électoral. On a l’impression que ce ministère a vraiment du mal à remplir cette obligation. »
« Nous appelons aussi les partis politiques à la sensibilisation de leurs militants sur la tolérance, le respect des libertés fondamentales et nous appelons aussi les autorités provinciales qui limitent et restreignent les libertés fondamentales des candidats à faire respecter la loi plutôt qu’à agir de la sorte, parce qu’en restreignant les libertés fondamentales, elles sont aussi auteures de l’excitation de colère des partis et des partisans de l’un ou de l’autre camp », souligne Luc Lutala, au micro de Gwendal Lavina. (Avec RFI)
Luc Lutala, coordonnateur national de la Symocel, appelle toutes les parties à la retenue. « C’est un phénomène qui est manifeste pour des gens qui rejettent un candidat ou l’autre, de façon très particulière, ça arrive pour le candidat Félix Tshisekedi, ou pour Moïse Katumbi dans très peu de cas. Nous appelons le ministère de l’Intérieur à la sécurisation du processus électoral. On a l’impression que ce ministère a vraiment du mal à remplir cette obligation. »
« Nous appelons aussi les partis politiques à la sensibilisation de leurs militants sur la tolérance, le respect des libertés fondamentales et nous appelons aussi les autorités provinciales qui limitent et restreignent les libertés fondamentales des candidats à faire respecter la loi plutôt qu’à agir de la sorte, parce qu’en restreignant les libertés fondamentales, elles sont aussi auteures de l’excitation de colère des partis et des partisans de l’un ou de l’autre camp », souligne Luc Lutala, au micro de Gwendal Lavina. (Avec RFI)
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