Selon l'enseignant-chercheur et politologue, Dr Abdou Khadre Sanokho, il est important de se préoccuper du contexte dans lequel se déroulera l'élection. « Dans un contexte de ramadan et de carême, il faudrait craindre un taux d'abstention ou bien un taux de participation extrêmement faible. On ne l'espère pas, puisque les uns et les autres ont crié sur tous les toits qu'il devenait impératif d'organiser l'élection avant le 02 avril », argue docteur Sanokho.
Selon lui, il est essentiel que tout le monde s'adapte, qu'il s'agisse des électeurs ou des politiciens. « Partons en nous adaptant à cette élection une fois pour tout afin que le Sénégal puisse connaître dans les jours à venir son futur président de la République a-t-il conseillé.
En plus des considérations évoquées précédemment, le politologue redoute également que la campagne ne soit empreinte de religiosité. « Évidemment, ça ne va pas être facile, la campagne, je la vois extrêmement bizarre. Certainement, qu'elle ne va pas se transformer en campagne religieuse parce que le contexte du ramadan est un contexte de proximité par rapport à la pratique religieuse », a souligné l'enseignant -chercheur à l'université Gaston Berger.
Selon lui, il est essentiel que tout le monde s'adapte, qu'il s'agisse des électeurs ou des politiciens. « Partons en nous adaptant à cette élection une fois pour tout afin que le Sénégal puisse connaître dans les jours à venir son futur président de la République a-t-il conseillé.
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