Le Sarah, navire de l'ONG allemande éponyme, sillonne depuis deux semaines les côtes canariennes à la recherche d'embarcations de migrants en détresse. Le bateau effectue pour l'heure des missions d'observation, mais espère à terme être opérationnel pour du sauvetage en mer. C'est la première fois qu'un navire humanitaire est présent dans cette zone.
Les migrants changent d'itinéraire, les navires humanitaires s'adaptent. Alors que de plus en plus d'exilés empruntent depuis le début 2020 de nouveau la route des Canaries, abandonnée depuis plusieurs années, une ONG allemande a décidé d'envoyer un bateau sillonner les côtes de l'archipel espagnol à la recherche d'embarcations en détresse. C'est la première fois qu'un navire humanitaire est présent dans cette zone.
Le Sarah, pour Search and rescue for all human (recherche et sauvetage pour tous les humains, en français), est actif depuis mi-novembre dans l'océan Atlantique. Tous les jours, ce navire de l'ONG allemande éponyme patrouille dans la zone pour "observer la situation et prévenir [les secours] de canots en difficultés", précise à InfoMigrants Markus Grode, chargé de la communication du Sarah. "Lorsqu'on voit une embarcation, on prévient le MRCC espagnol ou les navires commerciaux qui se trouvent à proximité".
avec InfoMigrants
Les migrants changent d'itinéraire, les navires humanitaires s'adaptent. Alors que de plus en plus d'exilés empruntent depuis le début 2020 de nouveau la route des Canaries, abandonnée depuis plusieurs années, une ONG allemande a décidé d'envoyer un bateau sillonner les côtes de l'archipel espagnol à la recherche d'embarcations en détresse. C'est la première fois qu'un navire humanitaire est présent dans cette zone.
Le Sarah, pour Search and rescue for all human (recherche et sauvetage pour tous les humains, en français), est actif depuis mi-novembre dans l'océan Atlantique. Tous les jours, ce navire de l'ONG allemande éponyme patrouille dans la zone pour "observer la situation et prévenir [les secours] de canots en difficultés", précise à InfoMigrants Markus Grode, chargé de la communication du Sarah. "Lorsqu'on voit une embarcation, on prévient le MRCC espagnol ou les navires commerciaux qui se trouvent à proximité".
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