En pleine effervescence de la campagne de commercialisation de la noix de cajou, la Casamance (dans le sud) a été le théâtre d’une attaque d’une rare violence. Mercredi matin, une trentaine de commerçants circulant sur l’axe Boussoloum-Niadiou, dans la commune de Boutoupa-Camaracounda, ont été pris pour cible par un groupe armé. Selon des sources sécuritaires citées par Libération, les assaillants ont dérobé près de 40 millions de FCFA, ainsi que des téléphones portables, avant de prendre la fuite vers la Guinée-Bissau.
Le mode opératoire évoque une véritable embuscade de guérilla. Les commerçants, venus s’approvisionner au marché hebdomadaire de Boussoloum, ont été surpris par des hommes armés surgissant de la brousse. Neutralisés sans résistance possible, ils ont été dépouillés de leurs fonds destinés à l’achat de noix de cajou, puis libérés après le braquage.
« Les malfaiteurs ont tout pris : l’argent, les téléphones. Après leur coup, ils sont partis tranquillement en direction de la forêt frontalière », rapporte un témoin sous couvert d’anonymat.
Cette attaque plonge la région dans l’inquiétude, alors que la filière cajou, pilier économique de la Casamance, bat son plein. Si les victimes ont été épargnées physiquement, le traumatisme psychologique et les pertes financières risquent de dissuader les commerçants de poursuivre leurs activités, fragilisant davantage une économie déjà vulnérable.
Les forces de sécurité se sont immédiatement déployées pour sécuriser la zone et rassurer les populations. Cependant, la rapidité avec laquelle les assaillants ont disparu vers la forêt frontalière de Guinée-Bissau – une zone réputée difficile à contrôler – renforce les soupçons de l’implication de réseaux criminels transfrontaliers.
Le mode opératoire évoque une véritable embuscade de guérilla. Les commerçants, venus s’approvisionner au marché hebdomadaire de Boussoloum, ont été surpris par des hommes armés surgissant de la brousse. Neutralisés sans résistance possible, ils ont été dépouillés de leurs fonds destinés à l’achat de noix de cajou, puis libérés après le braquage.
« Les malfaiteurs ont tout pris : l’argent, les téléphones. Après leur coup, ils sont partis tranquillement en direction de la forêt frontalière », rapporte un témoin sous couvert d’anonymat.
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