«Certains ont dit que ce dossier fait l’objet de stigmatisation de la communauté des ‘’Ibadou Rahman’’. Il est dangereux de faire de la stigmatisation en disant que ‘’Ibadou Rahman’’ égale terroriste. Parce que devant cette barre, il y a que des Ibadous», a déclaré l'avocat de Moustapha Diatta. Selon Me Ousseynou Ngom, le Coran définit clairement le statut des ‘’Ibadous’’ dans la sourate 33 verset 67 à 70.
Pour la robe, les agissements du parquet ne sont rien d’autre que de « la gymnaste intellectuelle». Le procureur, estime-t-il, a profité du fait que Moustapha Diatta a eu à échanger avec Abdourahmane Mendy (djihadiste) pour l’inculper. Sur ce, l'avocat reste convaincu que Moustapha Diatta n’a jamais contesté avoir apporté un appui à Penda Keita pour lui permettre d’avoir des pièces d’état civil mais malheureusement, cela n’a jamais abouti. « Qu’on vienne me dire qu’aider l’épouse de son ami est un délit », a-t-il laissé entendre.
Concernant l'accusation sur la détention de minutions d'arme sans autorisation, Me Ousseynou Ngom a tenu à préciser qu’on n'a pas besoin d’autorisation pour détenir une arme à feu. «Ce n’est pas une arme à feu mais une arme de loisir. Je vous demande de relaxer Moustapha Diatta purement et simplement de l’infraction de détention de minutions sans autorisation », a-t-il conclut.
Pour la robe, les agissements du parquet ne sont rien d’autre que de « la gymnaste intellectuelle». Le procureur, estime-t-il, a profité du fait que Moustapha Diatta a eu à échanger avec Abdourahmane Mendy (djihadiste) pour l’inculper. Sur ce, l'avocat reste convaincu que Moustapha Diatta n’a jamais contesté avoir apporté un appui à Penda Keita pour lui permettre d’avoir des pièces d’état civil mais malheureusement, cela n’a jamais abouti. « Qu’on vienne me dire qu’aider l’épouse de son ami est un délit », a-t-il laissé entendre.
Concernant l'accusation sur la détention de minutions d'arme sans autorisation, Me Ousseynou Ngom a tenu à préciser qu’on n'a pas besoin d’autorisation pour détenir une arme à feu. «Ce n’est pas une arme à feu mais une arme de loisir. Je vous demande de relaxer Moustapha Diatta purement et simplement de l’infraction de détention de minutions sans autorisation », a-t-il conclut.
Autres articles
-
Djilor Saloum : le Jaraaf Diatta Sarr retrouvé mort après plusieurs semaines de recherches
-
Innovation africaine : Qualcomm accompagne dix startups et relance « Make in Africa » en 2026
-
Mort d'Abdoulaye Diop en France : son père accuse des « discours politiques irresponsables » et interpelle l’État
-
Kédougou : des éboulements sur des sites d’orpaillage font 9 morts
-
Santé sexuelle et reproductive à Kolda : un accès encore difficile pour les femmes et filles handicapées




Djilor Saloum : le Jaraaf Diatta Sarr retrouvé mort après plusieurs semaines de recherches


