Pour le leader de l'Union pour la république, « Le pétrole est un des aspects de la vie, un des moyens de se faire de l’argent. Mais la circulation de l’argent, la manière dont l’argent est utilisé dans un pays, la manière dont les investissements sont faites, la manière dont on aime son pays et son peuple pour que son argent lui serve à quelque chose sont ces assemble qui font ce qui est appelé développement et que moi j’appellerais bien être. »
Car, ajoute le juriste « il n’y a pas de bien être chez nous et aucune politique n’envisage ce bien être. Parce que, ce qui fait de la politique n’exprime pas de l’amour pour le peuple, le bien-être et la sécurité de leur enfant. Ils cherchent le pouvoir. C'est le pouvoir de gouverner, c’est la force de s’enrichir et d’enrichir leurs proches. C’est la force de décider. Rien n’est fait pour que les gens aiment leur pays, rien n’est offert à notre pays pour que quelqu’un soit heureux », a -t-il soutenu.
Car, ajoute le juriste « il n’y a pas de bien être chez nous et aucune politique n’envisage ce bien être. Parce que, ce qui fait de la politique n’exprime pas de l’amour pour le peuple, le bien-être et la sécurité de leur enfant. Ils cherchent le pouvoir. C'est le pouvoir de gouverner, c’est la force de s’enrichir et d’enrichir leurs proches. C’est la force de décider. Rien n’est fait pour que les gens aiment leur pays, rien n’est offert à notre pays pour que quelqu’un soit heureux », a -t-il soutenu.
Autres articles
-
Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"
-
Ousmane Sonko met fin aux spéculations sur son éligibilité : « Rien ne peut m’empêcher d’être candidat »
-
Fonds alloués aux victimes de 2021-2024 : seulement 1,8 milliard débloqué, Maimouna Dièye s’explique sur les retards
-
Bénin : Patrice Talon assure avoir "nettoyé les dernières poches de résistance des mutins"
-
Tentative de coup d’Etat au Bénin : la CEDEAO "a ordonné le déploiement immédiat d'éléments de la Force en attente"




Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"


