Certains sont en train de rire sous cape des menaces du président Macky Sall de dissoudre la Fédération sénégalaise de football (Fsf), si les "Lions" ne parviennent pas à obtenir leur ticket pour le Mondial 2018. Pour cause, le gouvernement sénégalais a une très faible marge d'intervention si la campagne des "Lions" au Mondial se termine par un fiasco. Les Fédérations sportives internationales étant très soucieuses de maintenir l'indépendance du sport vis-à-vis de la politique, elles prennent en général des sanctions immédiates contre les Fédérations nationales qui se soumettent à des pressions de l'Exécutif. Ainsi dans le football, la très puissante Fifa a déjà "suspendu" de nombreuses fédérations nationales, leur interdisant toute participation à des compétitions régionales et internationales, même si, souvent, une simple mise en demeure permet de régler les différends.
C'est ainsi qu'au cours de la décennie passée, Fifa a suspendu les fédérations malgache, grecque, iranienne, irakienne, yéménite, kényane ou encore koweïtienne. Pour, la plupart du temps, le motif d'ingérence gouvernementale. Les conflits peuvent naître des pressions ou des ingérences politiques caractérisées, comme ce fut le cas pour le Pérou où le refus du gouvernement de reconnaître l'élection, en novembre 2008, d'un nouveau président de la PFF, Manuel Burga, avait provoqué l'interdiction (provisoire) de compétitions internationales pour l'équipe nationale en pleines qualifications pour le Mondial 2010. Le différend peut aussi avoir pour origine un non-respect des règles démocratiques qui régissent la vie et désignent les responsables des fédérations. Ainsi, la Fédération éthiopienne avait été suspendue en 2008 pour n'avoir pas fait entériner une démission par son assemblée générale, a rappelé dans son site internet, le journal français Le Point.
C'est ainsi qu'au cours de la décennie passée, Fifa a suspendu les fédérations malgache, grecque, iranienne, irakienne, yéménite, kényane ou encore koweïtienne. Pour, la plupart du temps, le motif d'ingérence gouvernementale. Les conflits peuvent naître des pressions ou des ingérences politiques caractérisées, comme ce fut le cas pour le Pérou où le refus du gouvernement de reconnaître l'élection, en novembre 2008, d'un nouveau président de la PFF, Manuel Burga, avait provoqué l'interdiction (provisoire) de compétitions internationales pour l'équipe nationale en pleines qualifications pour le Mondial 2010. Le différend peut aussi avoir pour origine un non-respect des règles démocratiques qui régissent la vie et désignent les responsables des fédérations. Ainsi, la Fédération éthiopienne avait été suspendue en 2008 pour n'avoir pas fait entériner une démission par son assemblée générale, a rappelé dans son site internet, le journal français Le Point.
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