Un tollé surexcitant s’est découlé de la déclaration de patrimoine du successeur d’Abdoulaye Wade. Ce qui d’ailleurs, a incité bon nombre de sénégalais à exiger l’audition de Macky Sall, afin de d’éclairer sur sa fortune jugée « colossale ». Néanmoins, dans ces audits déclenchés par l’Etat, et qui ne finissent pas de susciter la polémique, « Macky Sall ne doit pas être traité comme tout le monde », soutient Cheikh Yérim Seck pour qui le président de la République « est le socle de nos institutions, l’homme qui garantit la stabilité de notre pays, l’homme sur lequel reposent les institutions du pays et qui est susceptible de faire la déclaration de guerre ».
Invité de « Remue-ménage » de la RFM ce dimanche, celui qui prône « mieux vaut l’injustice que le désordre institutionnel », s’élève à cet effet contre « toutes les formes de théories égalitaristes qui pensent que Macky Sall doit être interrogé ». Par ailleurs, « Macky Sall est le président de la République, il est le garant de l’ordre public dans notre pays, celui qui dispose au vu de la Constitution, la possibilité de déclarer la guerre », réitère M. Seck qui exemplifie « si on était une puissance nucléaire, c’est lui qui aurait disposé du bouton nucléaire ». Par conséquent, « on ne doit pas le déstabiliser dans le cadre de l’exercice de ses fonctions », argue-t-il.
Invité de « Remue-ménage » de la RFM ce dimanche, celui qui prône « mieux vaut l’injustice que le désordre institutionnel », s’élève à cet effet contre « toutes les formes de théories égalitaristes qui pensent que Macky Sall doit être interrogé ». Par ailleurs, « Macky Sall est le président de la République, il est le garant de l’ordre public dans notre pays, celui qui dispose au vu de la Constitution, la possibilité de déclarer la guerre », réitère M. Seck qui exemplifie « si on était une puissance nucléaire, c’est lui qui aurait disposé du bouton nucléaire ». Par conséquent, « on ne doit pas le déstabiliser dans le cadre de l’exercice de ses fonctions », argue-t-il.
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