Certains membres de ces organisations à savoir Guy Marius Sagna, Papis Djim (Frapp France Dégage), Fallou Diagne (Collectif Noo Lank) et Sylvestine Mendy (Africa First) ont été libéré après avoir été arrêtés hier dimanche, suite à l'interdiction de la marche contre la vie chère, à Guédiawaye. Ils ont fait face à la presse ce lundi pour dénoncer la vie chère.
Ababacar Mbaye, coordonnateur du mouvement And Taxawu Askan WI (ATAW) et porte-parole du jour a dénoncé l’arrestation de ces camarades. « Nous sommes là aujourd'hui pour dénoncer avec la dernière énergie le fait que l'Etat du Sénégal exagère du fait de bafouer les droits des Sénégalais. Et, nous lui signalons dès maintenant que nous continuerons à résister. Nous ne céderons jamais à l'intimidation car ce qui s'est passé hier à Guédiawaye est indigne, inhumain », a-t-il dit.
Il a également déploré l'interdiction de la manifestation contre l'assassinat de Samba Sarr. « À Pikine de simples citoyens qui manifestaient pour déplorer "l'assassinat" de Samba Sarr, par rapport à l'élection du président de la fédération sénégalaise de Football. Simplement pour une manifestation pacifique, ils leurs ont interdit ça. C'est la deuxième fois, qu'on nous interdit nos manifestations. On avait prévu pour le 5 septembre, ils l'ont interdit. Étant de bons citoyens, étant des légalistes on a introduit une autre lettre d'information », a fustigé le coordonnateur du mouvement And Taxawu Askan WI (ATAW).
Selon lui, « la marche n'est pas quelque chose qu'on doit autoriser, parce que c'est un droit constitutionnel ».
Poursuivant, Ababacar Mbaye a dénoncé la brutalisation, le kidnapping indigne qu'ils ont infligé à ses camarades, hier dimanche. « Mais ils doivent savoir que les sénégalais vont résister et continueront à résister jusqu'à ce que la liberté nous soit acquise. Tous les mouvements se sont réunis en un seul bloc pour leur montrer que c'est le Sénégal d'en bas qui est là. Nous allons porter ce combat ».
Il a appelé tout le monde à la manifestation du 17 septembre, « c'est n'est pas une manifestation de Noo Lank ni de Ataw ou de Frapp, c'est une manifestation du peuple, des travailleurs et des travailleuses. Dans un pays où le transport est cher, l'eau est chère, l'électricité est chère, le riz est chère, le loyer est cher, le téléphone. Tout est cher ».
Ababacar Mbaye a annoncé le lancement de la campagne après la manifestation "Fepp" (partout) dans les 46 départements du Sénégal. « Nous appelons tous les citoyens de ce pays qui dénoncent cette flambée exagérée des prix inconcevables de venir à la marche. C'est seul le peuple qui va arracher sa liberté », a-t-il laissé entendre.
Ababacar Mbaye, coordonnateur du mouvement And Taxawu Askan WI (ATAW) et porte-parole du jour a dénoncé l’arrestation de ces camarades. « Nous sommes là aujourd'hui pour dénoncer avec la dernière énergie le fait que l'Etat du Sénégal exagère du fait de bafouer les droits des Sénégalais. Et, nous lui signalons dès maintenant que nous continuerons à résister. Nous ne céderons jamais à l'intimidation car ce qui s'est passé hier à Guédiawaye est indigne, inhumain », a-t-il dit.
Il a également déploré l'interdiction de la manifestation contre l'assassinat de Samba Sarr. « À Pikine de simples citoyens qui manifestaient pour déplorer "l'assassinat" de Samba Sarr, par rapport à l'élection du président de la fédération sénégalaise de Football. Simplement pour une manifestation pacifique, ils leurs ont interdit ça. C'est la deuxième fois, qu'on nous interdit nos manifestations. On avait prévu pour le 5 septembre, ils l'ont interdit. Étant de bons citoyens, étant des légalistes on a introduit une autre lettre d'information », a fustigé le coordonnateur du mouvement And Taxawu Askan WI (ATAW).
Selon lui, « la marche n'est pas quelque chose qu'on doit autoriser, parce que c'est un droit constitutionnel ».
Poursuivant, Ababacar Mbaye a dénoncé la brutalisation, le kidnapping indigne qu'ils ont infligé à ses camarades, hier dimanche. « Mais ils doivent savoir que les sénégalais vont résister et continueront à résister jusqu'à ce que la liberté nous soit acquise. Tous les mouvements se sont réunis en un seul bloc pour leur montrer que c'est le Sénégal d'en bas qui est là. Nous allons porter ce combat ».
Il a appelé tout le monde à la manifestation du 17 septembre, « c'est n'est pas une manifestation de Noo Lank ni de Ataw ou de Frapp, c'est une manifestation du peuple, des travailleurs et des travailleuses. Dans un pays où le transport est cher, l'eau est chère, l'électricité est chère, le riz est chère, le loyer est cher, le téléphone. Tout est cher ».
Ababacar Mbaye a annoncé le lancement de la campagne après la manifestation "Fepp" (partout) dans les 46 départements du Sénégal. « Nous appelons tous les citoyens de ce pays qui dénoncent cette flambée exagérée des prix inconcevables de venir à la marche. C'est seul le peuple qui va arracher sa liberté », a-t-il laissé entendre.
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