La capitale sénégalaise Dakar est polluante. La gravité du phénomène est reconnue au niveau international puisqu’en 2018, l’OMS classait Dakar comme "deuxième ville la plus polluée au monde". Celle-ci affiche ainsi un taux moyen de particules fines de 146 microgrammes par m³. Parmi les causes de cette pollution, l’intense circulation automobile.
Réunis ce mardi 5 novembre 2019, au tour d’un atelier de partage des résultats du bilan carbone de la ville de Dakar, les acteurs se sont donnés la volonté de se défaire de l’étiquette de la mauvaise politique de la gestation des émissions des gaz à effet de serre, et d’engager une approche inclusive de la situation.
« Cette étude nous permet de connaitre nos émissions de gaz à effet de serre dans trois secteurs que sont : le transport, les déchets et l’énergie », explique Marade Dièye, secrétaire général de la ville de Dakar. Pour une résilience au changement climatique, des stratégies sont mises en place par la ville de Dakar que sont ; « aller vers une ville plus économe par la rénovation thermique des bâtiments administratives, augmenter la part de renouvelables dans la consommation énergétique, anticiper l’adaptation de changements climatiques, promouvoir une mobilité urbaine diversifiée et écologique, et sensibiliser les populations à la culture climat. Ce dernier qui est une participation inclusive de la population », informe M. Dièye.
Le président de la commission étude générale des planifications au niveau de la ville de Dakar, membre du comité de pilotage du projet plan climat énergie territoriale, Ndiaga Dieng est également d’avis que Dakar doit s’adapter et atténuer les effets climatiques.
« Toutes les villes dans le monde se battent pour être résilientes. Dakar, en première, en partenariat avec le développement d’une ligne européenne, est en train de mettre en place un projet qui va aller dans le sens de connaitre la situation dans le quel nous vivons, avant de nous lancer dans des orientations et des stratégies qui nous permettront de mener des actions », rajoute t-il.
A l’issue de la présentation du document, un partage des informations se fera sur les considérations générales, et sur les aspects sectorielles relativement aux déchets, aux transports et à l’énergie et ce qui va sortir du document permettra de savoir où est-ce qu’il faut aller et comment il faut aller, comme l'indiquent les acteurs de l’environnement.
Réunis ce mardi 5 novembre 2019, au tour d’un atelier de partage des résultats du bilan carbone de la ville de Dakar, les acteurs se sont donnés la volonté de se défaire de l’étiquette de la mauvaise politique de la gestation des émissions des gaz à effet de serre, et d’engager une approche inclusive de la situation.
« Cette étude nous permet de connaitre nos émissions de gaz à effet de serre dans trois secteurs que sont : le transport, les déchets et l’énergie », explique Marade Dièye, secrétaire général de la ville de Dakar. Pour une résilience au changement climatique, des stratégies sont mises en place par la ville de Dakar que sont ; « aller vers une ville plus économe par la rénovation thermique des bâtiments administratives, augmenter la part de renouvelables dans la consommation énergétique, anticiper l’adaptation de changements climatiques, promouvoir une mobilité urbaine diversifiée et écologique, et sensibiliser les populations à la culture climat. Ce dernier qui est une participation inclusive de la population », informe M. Dièye.
Le président de la commission étude générale des planifications au niveau de la ville de Dakar, membre du comité de pilotage du projet plan climat énergie territoriale, Ndiaga Dieng est également d’avis que Dakar doit s’adapter et atténuer les effets climatiques.
« Toutes les villes dans le monde se battent pour être résilientes. Dakar, en première, en partenariat avec le développement d’une ligne européenne, est en train de mettre en place un projet qui va aller dans le sens de connaitre la situation dans le quel nous vivons, avant de nous lancer dans des orientations et des stratégies qui nous permettront de mener des actions », rajoute t-il.
A l’issue de la présentation du document, un partage des informations se fera sur les considérations générales, et sur les aspects sectorielles relativement aux déchets, aux transports et à l’énergie et ce qui va sortir du document permettra de savoir où est-ce qu’il faut aller et comment il faut aller, comme l'indiquent les acteurs de l’environnement.
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