Au Congo-Brazzaville, les réactions se poursuivent, en ce début de semaine, après le verdict du procès Mokoko. Le général Jean-Michel Mokoko, opposant à Denis Sassou-Nguesso et ancien candidat à la présidentielle, a été condamné vendredi à 20 ans de prison pour « atteinte à la sécurité intérieure de l'Etat ». Le procès Mokoko est le premier d'une série à venir puisque d'autres opposants attendent aujourd'hui d'être jugés. Pour Clément Mierassa, président du Parti social-démocrate congolais et coordonnateur du Mouvement citoyen de l'ordre constitutionnel, la justice congolaise fonctionne à deux vitesses.
Autres articles
-
Tchad: une présidentielle ouverte qui se tient dans un climat de tension
-
Centrafrique: une centaine de miliciens de la communauté Zandé rejoignent l'armée nationale
-
Mauritanie: Nouakchott dénonce à nouveau les tensions à la frontière malienne
-
Côte d'Ivoire: découverte du plus grand gisement d'or du pays
-
Burkina Faso: manifestations devant l'ambassade des États-Unis à Ouagadougou