C’est la deuxième fois que le Congo expérimente le vote par anticipation des Forces de défense et de sécurité : le premier test a eu lieu en 2021, lors de la dernière élection présidentielle.
Ce lundi, c’est dans les bureaux ordinaires, établis notamment dans les écoles publiques et privées, qu’ils vont accomplir leur devoir civique. Pour des besoins d’identification ou de reconnaissance, ils seront tous en tenue militaire.
Ceux qui sont en mission, loin de leur lieu habituel de travail, peuvent voter par procuration, selon Henri Bouka président de la Commission électorale. Il assure que toutes les dispositions sont prises pour un vote en toute sérénité.
L’électorat des forces de sécurité n’est pas précisé. Mais selon la CNEI, près de 2,9 millions d’électeurs sont enregistrés.
Le principal enjeu des législatives est le contrôle de l’Assemblée nationale. Le Parti congolais du travail (PCT) du président Denis Sassou-Nguesso a la mainmise sur la chambre basse du Parlement depuis 2002.
Autre enjeu, c’est le taux de participation. Les militants et autres sympathisants des partis politiques sont présents dans les meetings de campagne, mais désertent souvent les bureaux le jour du vote.
Ce lundi, c’est dans les bureaux ordinaires, établis notamment dans les écoles publiques et privées, qu’ils vont accomplir leur devoir civique. Pour des besoins d’identification ou de reconnaissance, ils seront tous en tenue militaire.
Ceux qui sont en mission, loin de leur lieu habituel de travail, peuvent voter par procuration, selon Henri Bouka président de la Commission électorale. Il assure que toutes les dispositions sont prises pour un vote en toute sérénité.
L’électorat des forces de sécurité n’est pas précisé. Mais selon la CNEI, près de 2,9 millions d’électeurs sont enregistrés.
Le principal enjeu des législatives est le contrôle de l’Assemblée nationale. Le Parti congolais du travail (PCT) du président Denis Sassou-Nguesso a la mainmise sur la chambre basse du Parlement depuis 2002.
Autre enjeu, c’est le taux de participation. Les militants et autres sympathisants des partis politiques sont présents dans les meetings de campagne, mais désertent souvent les bureaux le jour du vote.
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