« Chaque jour, 95 millions de litres d’eau sont produits. Malheureusement, en raison de la mauvaise qualité des réseaux de distribution, plus de la moitié de cette production est perdue », déclare Thierry Moungalla, porte-parole du gouvernement congolais.
Lors de la deuxième session de la « Quinzaine du gouvernement », il a abordé la question des réseaux d'eau mal entretenus, soulignant les conséquences directes sur la distribution d'eau dans le pays. Pour lui, les problèmes de tuyaux percés ou de mauvaise qualité conduisent à des pertes considérables. « Si c’est un tuyau percé, l’eau sort à moitié. Si c’est un tuyau dont l’eau est de mauvaise qualité, au bout de la chaîne, le consommateur ne la consomme pas », ajoute-t-il.
Pertes d'électricité entre Pointe-Noire et Brazzaville
Le porte-parole du gouvernement a également évoqué les difficultés liées à l'approvisionnement en électricité. Le Congo-Brazzaville perd entre 80 et 120 mégawatts sur une production totale de 720 mégawatts en raison de l'état des réseaux de transport. « Ce qui est produit se perd dans le réseau de transport à très haute tension entre Pointe-Noire et Brazzaville », a-t-il précisé.
Ces pertes d'énergie aggravent la situation pour les citoyens, qui subissent régulièrement des coupures de courant, rendant encore plus complexe leur quotidien.
Lors de la deuxième session de la « Quinzaine du gouvernement », il a abordé la question des réseaux d'eau mal entretenus, soulignant les conséquences directes sur la distribution d'eau dans le pays. Pour lui, les problèmes de tuyaux percés ou de mauvaise qualité conduisent à des pertes considérables. « Si c’est un tuyau percé, l’eau sort à moitié. Si c’est un tuyau dont l’eau est de mauvaise qualité, au bout de la chaîne, le consommateur ne la consomme pas », ajoute-t-il.
Pertes d'électricité entre Pointe-Noire et Brazzaville
Le porte-parole du gouvernement a également évoqué les difficultés liées à l'approvisionnement en électricité. Le Congo-Brazzaville perd entre 80 et 120 mégawatts sur une production totale de 720 mégawatts en raison de l'état des réseaux de transport. « Ce qui est produit se perd dans le réseau de transport à très haute tension entre Pointe-Noire et Brazzaville », a-t-il précisé.
Ces pertes d'énergie aggravent la situation pour les citoyens, qui subissent régulièrement des coupures de courant, rendant encore plus complexe leur quotidien.
Autres articles
-
Iran: deux ans après la mort de Mahsa Amini, l'impact d'une «révolution culturelle» toujours en cours
-
Niger: inquiétude face à la disparition du journaliste Serge Mathurin Adou
-
Afrique: reprise des discussions entre la RDC et le Rwanda en Angola
-
Le FMI révise à la baisse la prévision de croissance du Sénégal
-
Au Kenya, le chef de la police nationale condamné pour outrage à la cour