Avant de prendre l’avion à La Haye pour gagner Bruxelles, le président lituanien a résumé les choses en ces termes : « un vol court et des sujets étroitement liés, la défense et l’Ukraine », a écrit Gitanas Nauseda sur X. Les dirigeants qui ont pris part au sommet de l’Otan vont approfondir les discussions à Bruxelles.
Réticent à augmenter les dépenses militaires au niveau exigé par Donald Trump, le Premier ministre espagnol espère qu’il sera moins question de pourcentages, que de production commune et d’interopérabilité, ce jeudi. Sous la menace russe, l’Union européenne (UE) tente de s’organiser en augmentant ses budgets militaires, avec pour objectif, l’autonomie stratégique. Les travaux de l'après-midi traiteront de ces enjeux de défense et de sécurité européenne.
Au déjeuner, les 27 vont tenter d’adopter une posture diplomatique commune, sur les crises du Proche et du Moyen-Orient. Certains pays souhaiteraient qu'il soit clairement établi qu'Israël viole les droits fondamentaux, d'autres sont plus réticents, redoutant un durcissement supplémentaire des positions israéliennes.
En fin de matinée, le président ukrainien fera une déclaration en visioconférence, après s’être entretenu avec Donald Trump, hier mercredi à La Haye. Volodymyr Zelensky, qui s’est rendu au Conseil de l'Europe à Strasbourg pour assister à la création d'un tribunal spécial pour la guerre en Ukraine, espère voir adopté rapidement un 18e paquet de sanctions, dont l’objectif est de couper davantage les revenus pétroliers et gaziers du Kremlin. Mais la Slovaquie et la Hongrie y sont opposées.
Réticent à augmenter les dépenses militaires au niveau exigé par Donald Trump, le Premier ministre espagnol espère qu’il sera moins question de pourcentages, que de production commune et d’interopérabilité, ce jeudi. Sous la menace russe, l’Union européenne (UE) tente de s’organiser en augmentant ses budgets militaires, avec pour objectif, l’autonomie stratégique. Les travaux de l'après-midi traiteront de ces enjeux de défense et de sécurité européenne.
Au déjeuner, les 27 vont tenter d’adopter une posture diplomatique commune, sur les crises du Proche et du Moyen-Orient. Certains pays souhaiteraient qu'il soit clairement établi qu'Israël viole les droits fondamentaux, d'autres sont plus réticents, redoutant un durcissement supplémentaire des positions israéliennes.
En fin de matinée, le président ukrainien fera une déclaration en visioconférence, après s’être entretenu avec Donald Trump, hier mercredi à La Haye. Volodymyr Zelensky, qui s’est rendu au Conseil de l'Europe à Strasbourg pour assister à la création d'un tribunal spécial pour la guerre en Ukraine, espère voir adopté rapidement un 18e paquet de sanctions, dont l’objectif est de couper davantage les revenus pétroliers et gaziers du Kremlin. Mais la Slovaquie et la Hongrie y sont opposées.
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