Le coronavirus qui est entrée dans le Sénégal le 2 mars a provoqué un véritable drame social sur l’étendue du territoire national. Depuis deux mois, date de l’instauration de l’état d’urgence assorti de la mesure du couvre-feu, par le président Macky Sall, de nombreuses couches de la société ont été frappées.
Si en ville, on assiste, encore au « blues du businessman » sous le sale temps des salariés, à l’intérieur du pays, c’est la « peur paysanne » et les « Risques de famine » qui hantent le sommeil de cette partie du Sénégal.
« L’absence d’activités est ressentie négativement par l’agriculteur, le vendeur, le pêcheur, le coiffeur, le commerçant, le taximan, l’artiste, le couturier, a déploré Ahmed Bamba Diagne, directeur scientifique du Laboratoire de recherche économique et monétaire, dans L’Observateur.
Beaucoup d’employés ont fait les frais de l’expansion du coronavirus. Avec la multiplication des cas, de nombreux salariés ont été envoyés au chômage technique, notamment dans le privé.
A ce jour, le Sénégal compte 3161 cas confirmés, dont 1565 guéris, 36 décédés, et donc 1559 malades sous traitement.
Si en ville, on assiste, encore au « blues du businessman » sous le sale temps des salariés, à l’intérieur du pays, c’est la « peur paysanne » et les « Risques de famine » qui hantent le sommeil de cette partie du Sénégal.
« L’absence d’activités est ressentie négativement par l’agriculteur, le vendeur, le pêcheur, le coiffeur, le commerçant, le taximan, l’artiste, le couturier, a déploré Ahmed Bamba Diagne, directeur scientifique du Laboratoire de recherche économique et monétaire, dans L’Observateur.
Beaucoup d’employés ont fait les frais de l’expansion du coronavirus. Avec la multiplication des cas, de nombreux salariés ont été envoyés au chômage technique, notamment dans le privé.
A ce jour, le Sénégal compte 3161 cas confirmés, dont 1565 guéris, 36 décédés, et donc 1559 malades sous traitement.
Autres articles
-
Retard de salaires, conditions de travail, manque de transparence dans la gestion des affaires de l’entreprise : les travailleurs du groupe de presse Emedia broient du noir
-
Surproduction d'oignons et mévente : les producteurs de la zone des Niayes réclament des chambres froides
-
Souveraineté alimentaire : un programme agricole mise sur la chaine de valeur riz
-
Insalubrité dans les restaurants de l’université de Bambey : une commission auxiliaire de protection civile envisagée
-
Droits humains et liberté d’expression : Seydi Gassama plaide pour l’abolition de l’arrêté « Ousmane Ngom »