"On ne le reconnait pas parce qu'il n'y a pas eu élection. Ce qui s'est passé n'est pas une élection'', a affirmé Boubacar Koné, porte-parole de la branche du FPI restée fidelle à Laurent Gbagbo, dans un entrtien à Alerte info.
"Si nous voulons être conséquents avec nous même, nous dirons que c'est le coup d'état de 2011 qui continue. C'est la 2e mi-temps du coup d'état de 2011'', a poursuivi M. Koné.
La branche du FPI conduite par Sangare Aboudramane avait appelé au boycott de la présidentielle du 25 octobre, estimant que les conditions d'un scrutin transparent n'étaient pas réunies.
Elle réclamait entre autres, une reforme de la Commission électorale indépendante (CEI) et la révision du code électoral.
A l'issue de l'élection, M. Pascal Affi N'guessan, chef de file de l'autre tendance, est arrivé en seconde position derrière M. Ouattara réélu dès le premier tour avec 83,66% des suffrages.
Avec Afrique-monde
Autres articles
-
Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique
-
Guinée: à Kindia, les citoyens espèrent le retour des libertés publiques après l'élection présidentielle
-
Mali: ouverture du sommet des chefs d’État de l'AES pour renforcer la coopération régionale
-
Centrafrique: les projets de cryptomonnaie ont surtout favorisé le crime organisé, selon un rapport
-
Congo-Brazzaville: le Premier ministre espère une levée du «travel ban» américain





Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique


