Simone Gbagbo doit comparaître à partir du 22 octobre devant la cour d'assises d'Abidjan pour atteinte à la sûreté de l'Etat. (Photo : AFP)
« Lorsque le gouvernement ivoirien sent monter la pression, il sort toujours une nouvelle procédure de son chapeau », résume, amer, un bon connaisseur de la Cour pénale internationale (CPI). La Côte d’Ivoire a transmis le jour de la date butoir du 10 octobre des documents exigés fin août par la CPI pour prouver l’existence d’une procédure judiciaire en Côte d’Ivoire visant Simone Gbagbo.
Ces documents, des procès-verbaux d’interrogatoires, ne semblent pas avoir totalement convaincu le bureau du procureur. Il pourrait le signaler aux juges de la CPI. Pour quel effet ? Selon la CPI, le procès de Simone Gbagbo pour atteinte à la sûreté de l’Etat en Côte d’Ivoire ne fait pas obstacle à un deuxième procès à La Haye, où elle est visée par quatre chefs d’inculpation de crimes contre l’humanité.
Ces documents, des procès-verbaux d’interrogatoires, ne semblent pas avoir totalement convaincu le bureau du procureur. Il pourrait le signaler aux juges de la CPI. Pour quel effet ? Selon la CPI, le procès de Simone Gbagbo pour atteinte à la sûreté de l’Etat en Côte d’Ivoire ne fait pas obstacle à un deuxième procès à La Haye, où elle est visée par quatre chefs d’inculpation de crimes contre l’humanité.
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